Le président chinois Xi Jinping est, sans conteste, devenu la coqueluche des vins français. Recevant Emmanuel Macron, le président chinois l’a emmené visiter la Foire des importations de Shanghai. Et, Xi Jinping n’a pas boudé les vins français, ce qui a empli de fierté la filière qui a transformé le président en prescripteur d’honneur des vins français. Xi Jinping plus influent qu’un MW ? L’avenir le dira. Il est rare d’observer autant d’empressement à faire connaitre les étiquettes goûtées par un président. « Xi Jinping préfère les vins du Languedoc », a clamé le CIVL par la voix de sa présidente Miren de Lorgeril. Et pas n’importe lequel, car il s’agit du Château l’Hospitalet du meilleur des VRP du Languedoc : Gérard Bertrand. Ce vin lui a été proposé à la dégustation avec un Bordeaux et un Bourgogne qui n’est autre que le Château Corton Grancey, assemblage de quatre climats de Corton grand cru du Domaine Latour (Bressandes, Perrières, Grèves et Clos du Roi). Louis-Fabrice Latour, vice-président du BIVB, s’est empressé de faire un communiqué pour l’annoncer, ne laissant ainsi pas la vedette au Languedoc et glissant un commentaire peut-être pas tout à fait innocent : « un Lire la suite et réagir...
20 : elles sont vingt organisations représentées dans l’Observatoire européen de marché des vins. Cet organisme devrait permettre de mieux connaitre les cours communautaires.
10.5 millions d’euros : c’est le montant qui serait nécessaire à la réalisation de la Cité des vins et des climats de Beaune. Son architecture s’inspire d’un organe bien particulier de la vigne. Découvrir lequel en cliquant ici.
En réaction à l’article, « Vignerons et négociants opposés au « mois sans alcool » français », Braud écrit : Un mois sans alcool aide les gens à boire plus sainement toute l'année, selon une étude indépendante menée par l'Université du Sussex auprès de plus de 800 participants de Dry January. Elle a montré que les participants boivent toujours moins, même huit mois plus tard, le nombre de jours de consommation passant en moyenne de 4,3 à 3,3 par semaine.Autre constatation intéressante : les participants ont réduit d’un verre en moyenne la quantité d’alcool bue à chaque occasion. Enfin, les épisodes d’ivresse sont passés de 3 à 2 par mois.Ne pas boire d’alcool pendant 31 jours permet ainsi d’évaluer son rapport à l alcool et rééquilibrer notre consommation. Ca doit permettre que le reste de l'année, nous soyons mieux en mesure de prendre des décisions concernant notre consommation d'alcool et d'éviter de sombrer dans la consommation d'alcool plus que nous ne le souhaitons vraiment. Cette expérience révèle aussi toute la difficulté de trouver des alternatives de qualité, en France.Or il existe des vins sans alcool de qualité, vecteurs de croissance pour la filière viticole et non de concurrence. Il faut évoluer avec son temps et accepter de satisfaire la demande d’alternatives plutôt que de subir l émergences d’autres types de boissons qui grappillent les pdm de nos producteurs de vins
La question de la semaine
Les parlementaires préparent un Grenelle de la viticulture qui doit se tenir durant le premier semestre 2020. Si vous aviez un sujet à leur proposer ce serait :
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Un mois sans alcool aide les gens à boire plus sainement toute l'année, selon une étude indépendante menée par l'Université du Sussex auprès de plus de 800 participants de Dry January. Elle a montré que les participants boivent toujours moins, même huit mois plus tard, le nombre de jours de consommation passant en moyenne de 4,3 à 3,3 par semaine.Autre constatation intéressante : les participants ont réduit d’un verre en moyenne la quantité d’alcool bue à chaque occasion. Enfin, les épisodes d’ivresse sont passés de 3 à 2 par mois.Ne pas boire d’alcool pendant 31 jours permet ainsi d’évaluer son rapport à l alcool et rééquilibrer notre consommation. Ca doit permettre que le reste de l'année, nous soyons mieux en mesure de prendre des décisions concernant notre consommation d'alcool et d'éviter de sombrer dans la consommation d'alcool plus que nous ne le souhaitons vraiment. Cette expérience révèle aussi toute la difficulté de trouver des alternatives de qualité, en France.Or il existe des vins sans alcool de qualité, vecteurs de croissance pour la filière viticole et non de concurrence. Il faut évoluer avec son temps et accepter de satisfaire la demande d’alternatives plutôt que de subir l émergences d’autres types de boissons qui grappillent les pdm de nos producteurs de vins 
