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LA E-LETTRE de la filière
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Edito
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Les vins désalcoolisés en quête de marché |
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Sans alcool, allégé en alcool, boisson à base de vin… Quel que soit le type de produit, le marché des vins (et des boissons) en dessous de 9° s’éveille paresseusement. Chacun voit un frémissement, prédit un avenir glorieux sans que le segment ne s’épanouisse de façon indiscutable. Le marché croît sans franche expansion alors que l’on sait la demande existante. Pourquoi ? Est-ce une question de style de produit ? Certains y voient là l’explication et travaillent à des produits se voulant le duplicata organoleptique exact de leurs modèles alcoolisés (ici et là). D’autres pensent qu’il faut cibler et multiplier les niches en choisissant des typologies de consommateurs presque déjà acquis. Enfin, il y a ceux pour qui c’est une question d’image, le produit ayant pris la poussière dans les fonds de rayons. Il s’agit alors de le replacer dans un univers de consommation moderne ou bien, comme les néo-zélandais, de le rendre plus luxueux, plus chics. Dans tous les cas, chacun se raccroche à l’univers spécifique du vin que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur de la bouteille. Personne n’a encore essayé de s’en détacher complètement.
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METEO DES VIGNES
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GENS DU VIN
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Autant le dire
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En réaction à l’article, Nos lecteurs promoteurs des IGP, mais consommateurs de Crémants, Norbert écrit :
En fait, ce débat est biaisé, car la question est mal posée. Le vrai problème est celui de la défense de la notion même d'IGP, un nom de produit qui repose sur une tradition et une réputation. En indiquant que beaucoup de producteurs vont s'y mettre, à faire des IGP mousseux, ou attendent encore un peu, on voit bien qu'il n'y a aucune tradition établie. Comme le Conseil d'Etat l'a bien précisé, personne n'empêche des producteurs de faire du mousseux, mais ils ne peuvent pas créer une IGP de toute pièce. Ils pourraient très bien passer par des marques, histoire d'établir une notoriété. Il est vraiment dommage que l'INAO ne défende plus les principes de base...
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Les rendez-vous de la semaine prochaine
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Le 15 janvier, la région Nouvelle-Aquitaine réunit les journalistes pour leur présenter le projet « Territoire d'Innovation - Grande Ambition » qui vient d'être retenu au dispositif national. Pourquoi on vous en parle ? Parce qu'il concerne la viticulture durable et la sortie des phytosanitaires. |
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Le 16 janvier, l'Inra présentera les résultats d'une étude pluridisciplinaire sur les conséquences environnementales de l'usage du cuivre, notamment en agriculture biologique. La molécule fait débat depuis des années.  |
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