menu burger
Lire la vigne en epaper Magazine
Accueil / Commerce/Gestion / Les ventes de Côtes de Gascogne moelleux passent 10 millions de cols
Les ventes de Côtes de Gascogne moelleux passent 10 millions de cols
Lire plus tard
Partage tweeter facebook linkedin

Vins IGP
Les ventes de Côtes de Gascogne moelleux passent 10 millions de cols

Atteignant des paliers en termes de commercialisation et de production, les blancs doux de Gascogne mettent en avant leur lien au gros manseng.
Par Alexandre Abellan Le 25 juin 2019
article payant Article réservé aux abonnés Je m'abonne
Lire plus tard
Partage tweeter facebook linkedin
Les ventes de Côtes de Gascogne moelleux passent 10 millions de cols
E

n Indication Géographique Protégée Côtes de Gascogne, « nos ventes de vins moelleux représentent maintenant 10 millions de cols » annonce Jean-Pierre Drieux, le président du syndicat viticole, ce 18 juin lors de son assemblée générale à Condom (Gers). Se flattant d’avoir augmenté de 6 % en volume et 10 % en valeur ses ventes globales de vins blancs sur la grande distribution, le syndicat souligne que ces progressions sont portées par les moelleux. Cette tendance se ressent à la production, avec le cap des 100 000 hectolitres produits, et revendiqués, qui vient d’être atteint à la vendange 2018 (avec 102 000 hl, +17 %.

Valorisation

Avec des ventes en croissance en grande distribution et réseau traditionnel (cafés, hôtels et restauration), les blancs moelleux affichent des prix de vente plus élevés que les blancs secs souligne Amandine Lalanne, la responsable marketing des Côtes de Gascogne. Qui ajoute que « ce sont des vin plus premium, complémentaire au blanc sec de colombard ». Les nouveaux visuels de l’IGP mettent d’ailleurs en avant le gros manseng, notamment pour la consommation de vins doux lors des fêtes de fin d’année (cliquer ici pour en savoir plus).

« C’est une chance d’avoir un cépage comme le gros manseng. Ce sont des produits à forte valeur ajoutée, surtout ne les bradons pas » prévient Jean-Pierre Drieux. Qui fait écho aux inquiétudes exprimées par le syndicat quand, mars et avril derniers, un peu moins 20 000 hl de sec ont été vendus à 65-75 euros l’hectolitre en vrac. « On trouve qu’avec des prix aussi bas, on ne devrait pas vendre ces vins en IGP mais en vins sans indication géographique pour ne pas casser le marché et l’image des Côtes de Gascogne » note Alain Desprats, directeur syndicat

Vous n'êtes pas encore abonné ?

Accédez à l’intégralité des articles Vitisphere - La Vigne et suivez les actualités réglementaires et commerciales.
Profitez dès maintenant de notre offre : le premier mois pour seulement 1 € !

Je m'abonne pour 1€
Partage Twitter facebook linkedin
Soyez le premier à commenter
Le dépôt de commentaire est réservé aux titulaires d'un compte.
Rejoignez notre communauté en créant votre compte.
Vous avez un compte ? Connectez vous

Pas encore de commentaire à cet article.
vitijob.com, emploi vigne et vin
Gironde - CDD Château de La Rivière
Vaucluse - CDI PUISSANCE CAP
La lettre de la Filière
Chaque vendredi, recevez gratuitement l'essentiel de l'actualité de la planète vin.
Inscrivez-vous
Votre email professionnel est utilisé par Vitisphere et les sociétés de son groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici . Consultez notre politique de confidentialité pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits. Notre service client est à votre disposition par mail serviceclients@ngpa.fr.
Commerce/Gestion
© Vitisphere 2025 -- Tout droit réservé