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Bordeaux planche sur un guide de bonnes pratiques pour ses marques domaniales
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En réflexion
Bordeaux planche sur un guide de bonnes pratiques pour ses marques domaniales

Le débat est lancé dans la filière girondine sur l’utilisation commerciale par des vins de négoce d’un nom dont la notoriété est liée à un château.
Par Alexandre Abellan Le 19 décembre 2019
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Bordeaux planche sur un guide de bonnes pratiques pour ses marques domaniales
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ujet d’actualité avec l’arrêt Maucaillou, la question des marques domaniales s’est invitée lors de l’assemblée générale du Conseil Interprofessionnel du Vin de Bordeaux ce 16 décembre. Face à des demandes de clarification officielles venues de l’audience, l’interprofession a botté en touche, son président, Bernard Farges, notant que les familles de la production et du négoce n’avaient pas atteint de consensus en leur sein.

Sujet déjà débattu ce 9 décembre, lors de la dernière assemblée générale de la Fédération des Grands Vins de Bordeaux (FGVB), les marques domaniales vont être traitées par un groupe de travail réunissant les représentants des syndicats viticoles. « Nous allons travailler à un code de bonne conduite » annonce Jean-Marie Garde, le président de la FGVB, pour qui « il y a des étiquettes confusantes et des limites à ne pas franchir. Les marques domaniales sont récentes et à mieux border à Bordeaux où la notion de château est très forte. » Même volonté de clarification pour le négoce, dont le président, Lionel Chol, apporte cependant une nuance : « nous ne sommes pas là pour faire le procès des marques les unes par rapport aux autres. Ces marques ont du succès, pas qu’à Bordeaux, mais aussi en Bourgogne et en Provence. Si elles peuvent contribuer au succès de nos AOC, tant mieux. » Le succès commercial de ses marques amenant des opérateurs à souhaiter leur développement et non leur limitation alors que le vignoble bordelais fait face à un fort ralentissement de ses ventes.

Chemin entre les deux voies

Désormais lancées, les discussions s’annoncent techniques entre les tenants d’une logique de château (dont le nom est attaché à une assiette foncière) et celle d’une approche de marque commerciale (où la notoriété peut être déclinée comme un savoir-faire). « Doit-on tout autoriser ? Sans doute pas. Doit-on tout interdire ? Probablement non. Il faut trouver un chemin entre les deux voies » trace Bernard Farges, qui se dit « convaincu que l’on arrivera à trouver rapidement une voie ».

 

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