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Saviez-vous par exemple qu’un verre de champagne peut contenir jusqu’à 2 millions de bulles ?
C’est ce qu’a mis en évidence Gérard Liger-Belair, professeur à l’université de Reims, spécialisé en physique des liquides. Dans son ouvrage Voyage au coeur d’une bulle de champagne (Editions Odile Jacob, 172 p, 2011), accompagné de Guillaume Polidori, professeur de mécanique, les deux chercheurs ont mis au point des techniques de prise de vue permettant d’obtenir des clichés inédits du phénomène d’effervescence, une approche qui se veut aussi pédagogique afin d’apprécier au mieux la dégustation.
2,5 millions de dollars. C’est le prix d’un magnum de Champagne Avenue Foch vendu aux enchères en août 2022, une transaction exorbitante révelée par le Wall Street Journal.
La particularité de la bouteille : elle était livrée avec 5 NFT (Non Fongible Token). Créée en édition limitée par Shammi Shinh, connaisseur de champagne autoproclamé et négociant NFT, en collaboration avec l’artiste Mig, elle a été achetée par deux entrepreneurs italiens.
Pour le reste, ce magnum sobrement appelé « Magnum 2.5 » est un.assemblage de pinot noir (60 %), meunier (20 %) et chardonnay (20 %), à 100 % premier cru, une cuvée élaborée par une maison située à Chamery.
Frank Esposito, restaurateur new-yorkais, sabre plus vite que son ombre.
À la veille du nouvel an 2015, il se lance un défi et bat le record du monde de sabrage de champagne. Ce 31 décembre 2014, devant une foule compacte, il sabre 48 bouteilles en 60 secondes. Un exploit relayé par le Guinness World Record dont le précédent record avait été établi avec 47 bouteilles. (Source - Les Échos - 2015)
Alors que l’on vient de célébrer les 60 ans de la disparition de Marilyn Monroe, celle que l’on prenait pour « ingénue », à tort, avait des plaisirs en dehors des plateaux, certainement pour s’extirper de la folie holywoodienne de l’époque.
Le champagne en était un - d’ailleurs nombreux sont les clichés de Marilyn s’affichant avec le roi des vins -, boisson officielle du 7ème art dont elle partage la blondeur et le caractère pétillant, le précieux nectar est ainsi livré dans les résidences successives de l’actrice. « Sa préférence à elle », le Dom Pérignon 1953 : en juin 1962, Pat Newcomb, l’attachée de presse personnelle de la star, avait ainsi veillé à ce que le photographe Bert Stern en ait a minima trois bouteilles en stock pour sa séance prévue pour Vogue (Source Les Echos - « La vie Made in France de Marilyn Monroe » - juillet 2022)
