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"La viticulture ne saurait être la seule à s’engager" dans la transition environnementale
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Anthony Brun
"La viticulture ne saurait être la seule à s’engager" dans la transition environnementale

Faisant le constat d’une mobilisation charentaise pour réduire son empreinte environnementale, le président de l’Union Générale des Viticulteurs pour l'AOC Cognac appelle à une valorisation à la hauteur des efforts réalisés et prévus.
Par Alexandre Abellan Le 20 avril 2022
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« Nous sommes les premiers à vouloir réduire notre impact environnemental, nous travaillons donc sur des solutions concrètes » pointe Anthony Brun. - crédit photo : UGVC
«

 Nous n’avons pas à rougir de notre bilan » pose Anthony Brun, le président de l’Union Générale des Viticulteurs pour l'AOC Cognac (UGVC), ajoutant que « la transition environnementale est bien en marche à Cognac. Il reste du chemin à parcourir, mais des efforts sont chaque jour réalisés par la viticulture charentaise et je les salue ». Faisant le point lors d’une réunion publique ce mercredi 30 mars, le président de l’UGVC note l’ajout de mesures agroenvironnementales dans le cahier des charges de l’AOC Cognac (comme l’interdiction de désherbage en plein), les investissements dans des matériels de pulvérisation plus performants (les panneaux récupérateurs étant répandus dans le vignoble charentais) et le développement de la Certification Environnementale Cognac (CEC, 258 labélisés pour 16 % des surfaces de l’AOC).

Pour améliorer son empreinte environnementale à l’avenir, Anthony Brun souligne l’intérêt des cépages résistants au mildiou et à l’oïdium (dans un premier temps pour les Zones de Non-Traitement, ZNT), de l’adaptation de la lutte contre la flavescence dorée (« nous avons pour projet de doubler les surfaces en aménagement de lutte ») et de l’investissement dans la recherche (avec un nouvel institut interprofessionnel).

La viticulture ne saurait être la seule à s’engager

Face à ces engagements et investissements, Anthony Brun note le besoin de valorisation de ces efforts : « les pratiques conventionnelles ne peuvent valoir les pratiques intégrant des critères de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) ». D’autant plus que « chaque opérateur doit avoir des objectifs à atteindre en la matière. La viticulture ne saurait être la seule à s’engager dans des objectifs définis et contraignants » conclut le président de l’UGVC.

 

 

 

 

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