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17 vins IGP autorisent le recours aux cépages résistants
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Point d’étape
17 vins IGP autorisent le recours aux cépages résistants

Le vignoble à Indication Géographique Protégée intègre depuis 2019 des variétés résistantes au mildiou et à l’oïdium dans ses cahiers des charges. De nouvelles IGP sont candidates.
Par Alexandre Abellan Le 30 juin 2021
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17 vins IGP autorisent le recours aux cépages résistants
S

i l’accès aux variétés résistantes semblent s’ouvrir pour les vignobles d’appellation avec la nouvelle Politique Agricole Commune (levant l’obligation de ne planter que des cépages cultivés Vitis vinifera, quand les résistances au mildiou et à l’oidium sont issues d’autres Vitis, sauvages), leur déploiement est déjà une réalité dans les parcelles d’Indications Géographiques Protégées (IGP). Mais plus qu’une avance sur les vins AOP, « l’IGP a des possibilités différentes, pour des marchés différents » note Éric Paul, le président du comité national des vins IGP de l’Institut National de l’Origine et de la Qualité (INAO).

Évoquant l’intégration des cépages résistants ce 24 juin, le comité national des IGP poursuit le processus d’ouverture réglementaire. En 2019, ont vu leur arrêté d'homologation publié au Journal officiel les IGP du Gard, des Cévennes, des Coteaux du Pont du Gard, de Pays d'Oc, du Var, des Alpes-Maritimes, d’Atlantique et du Val de Loire. En 2020, suivaient les IGP des Côtes Catalanes, du Vaucluse, des Collines Rhodaniennes, d’Ardèche, de la Drôme, des Coteaux des Baronnies et du Périgord. Ont été modifiées en 2021 les IGP de la Méditerranée et de Pays des Bouches-du-Rhône.

En instruction

Sont en cours d'instruction les IGP Charentais, de l’Aude (avec ses déclinaisons départementales Coteaux de Narbonne, Cité de Carcassonne, Le Pays Cathare et Vallée du Paradis) et de l’Hérault (avec les Coteaux de Béziers, Coteaux d'Ensérune, Côtes de Thongue, Haute vallée de l'Orb, Saint-Guilhem-le-Désert et Vicomté d'Aumelas).

Des zones où l’on traite beaucoup moins

« Chaque année on a un peu plus de recul » note Éric Paul, qui souligne qu’il s’agit d’une valorisation d’un travail expérimental pour déterminer les variétés les plus adaptés à chaque terroir (et les pratiques culturales et œnologiques allant avec). « Aujourd’hui, c’est confortable d’avoir des cépages valorisés et connus internationalement par les consommateurs. Les autres cépages sont amenés à être connus avec le temps. Aujourd’hui, ils sont utilisés en assemblage et permettent des zones où l’on traite beaucoup moins » indique le viticulteur provençal.

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