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Les labos s’adaptent aux nouvelles analyses de routine des vins de Bordeaux
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Brett et phytos
Les labos s’adaptent aux nouvelles analyses de routine des vins de Bordeaux

Pour réussir les vinifications, mais aussi les commercialisations, les Å“nologues girondins sont de plus en plus demandeur d’analyses fines. Cette demande croissante alimentant le développement d’une offre riche. Nouvel exemple avec l’agrandissement récent d'Œno-Lab à Montagne.
Par Alexandre Abellan Le 31 mai 2019
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 Les labos s’adaptent aux nouvelles analyses de routine des vins de Bordeaux
A

près les laboratoires œnoteam et Excell, voici le tour d'œno-Lab d’inaugurer de nouveaux locaux pour accroître sa capacité d’analyses œnologiques. Jusque-là basé au sein du château la Fleur de Boüard (Lalande de Pomerol), le laboratoire de la rive droite a réalisé un investissement immobiliser de 350 000 euros (le montant étant confidentiel pour l’équipement d’analyses) pour s’installer au centre du bourg de Montagne (plus central dans le vignoble) et doubler sa surface (montée à 250 mètres carré). Avec quatre œnologues et deux techniciens, « notre labo n’est pas un ogre, nous sommes une petite goutte d’eau par rapport à la concurrence » pondère Philippe Nunes, cofondateur d'œno-Lab en 2007*, qui compte une centaine de propriétés clientes.

Brett et phytos

Si la taille d'œno-Lab est moindre que celle œnoteam ou Excell, ce laboratoire suit la même tendance montée en précision des analyses œnologiques pour répondre à des demandes toujours plus fines. « Nous nous sommes rapidement orientés sur la microbiologie et la détection de Brettanomyces » pointe Philippe Nunes, dont le laboratoire est passé de la culture sur boîte de Pétri à la cytométrie de flux (couplée à l’analyse des phénols volatils pour ne pas passer à côté d’une contamination). Si œno-Lab n’a pas encore internalisé l’analyses des résidus phytos dans les vins, ce développement est prévu dans les prochaines années au vu de la demande. « Il y a une recrudescence des analyses avec les cahiers des charges d’acheteurs qui demandent des garanties sur les lots » rapporte Philippe Nunes.

 

* : Avec Hubert de Boüard, Bryan Dessaint et Maxime Tachet.

 

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