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Peu importe le vin, pourvu qu'il n'y ait pas l'ivresse avec les NoLow de Cordier
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A degré moindre
Peu importe le vin, pourvu qu'il n'y ait pas l'ivresse avec les NoLow de Cordier

Préempter le segment des vins à faible teneur en alcool, et même celui des bières… Avec sa nouvelle cuvée faible en alcool ’Low matter what ?’, Cordier dévoile des ambitions importantes.
Par Olivier Bazalge Le 01 février 2024
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Peu importe le vin, pourvu qu'il n'y ait pas l'ivresse avec les NoLow de Cordier
'Say hi to the new low' lance l'étiquette. - crédit photo : Cordier
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éjà bien installé sur le créneau des vins désalcoolisées, le groupe appartenant à InVivo complète son offre en se positionnant sur une catégorie à fort potentiel. A 6 % d’alcool, "Low matter what" s’inscrit dans la catégorie des vins partiellement désalcoolisés. Cordier revendique en effet la place de « leader du vin sans alcool depuis plus de 30 ans grâce à sa marque de vins sans alcool Bonne Nouvelle, qui détient 65 % des parts de marché en France ».

3 monocépages (chardonnay blanc, syrah rosé, chardonnay pétillant) composent une gamme à mi-chemin entre les cuvées classiques et les vins totalement désalcoolisés, promettant « vins fruités, légèreté et fraîcheur », pousse un communiqué. Ce positionnement se veut même une alternative à la bière et s’adresse sans détour aux consommateurs de 18 à 35 ans pouvant avoir tendance à se détourner des alcools traditionnels pour une consommation plus modérée.

Peu importe

Promettant de « réconcilier bien-être et bien vivre », ces vins veulent démontrer que « ce qu’ils ont en plus, c’est ce qu’ils ont en moins », claque un communiqué. Le nom choisi ouvre également à l’universalité des temps de consommation jouant sur la traduction du « peu importe » le moment, le produit, les personnes.

Aujourd’hui, la catégorie des NoLow maintient une croissance mondiale depuis plusieurs années (+7% de volume en 2022, IWRS), en raison de jeunes consommateurs s’orientant vers moins d’alcool. Selon le baromètre Sowine 2022, 29% des français (+2% vs 2021), et 44% des 18-25 ans déclarent consommer des NoLow. Cordier voit dans ces tendances « une aubaine pour remettre la catégorie vin autour de la table ».

 

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