À Cognac, la SAS Thouard distribue une version économique du pulvé à panneaux récupérateurs Drift Recovery de Friuli pour répondre à la demande du marché. Cet appareil est doté d’une seule turbine animée par la prise de force contre deux — une par côté — pour le modèle original. Il n’y a plus de DPAE ni de jauge de cuve. Le boîtier de commande est filaire et non plus par Wi-Fi. Les automatismes sont simplifiés et les panneaux allégés.
Prix : le modèle 1 500 l passe ainsi de 58 000 à 40 000 €.
Les nouveaux Koleos premium de Dhugues sont « Isobus ready ». Ces pulvérisateurs à panneaux récupérateurs disposent de cette technologie sous deux versions : avec ou sans cartographie. Dans les deux cas, l’utilisateur commande et surveille sa machine depuis un écran tactile installé en cabine. C’est là qu’il règle et enregistre l’écartement des panneaux, la largeur des rangs ou la hauteur des panneaux au travail et les séquences de bout de rang. Ces largeurs et hauteurs apparaissent clairement sur l’écran. Avec l’option cartographie, l’écran passe de 7 à 10 pouces, le pulvérisateur est équipé d’un DPAE, le chauffeur visualise les rangs traités et enregistre la configuration et la surface de sa parcelle lors du premier passage. Pas besoin d’arpentage.
Prix : à partir de 40 000 €.
« On veut rentrer sur le marché des vignes étroites », déclare André Zanin, inspecteur commercial chez Calvet. Pour cela, ce constructeur languedocien sort un pulvé tangentiel porté de 200 litres des plus étroits, avec sa largeur hors tout de 698 mm. Les turbines, de fabrication italienne, mesurent 1,5 mètre de haut et portent cinq buses à injection d’air par côté. Un boîtier en cabine permet de régler la pression et de commander indépendamment l’ouverture des vannes droite et gauche pour démarrer le traitement. Bien qu’il soit très compact, ce pulvé est équipé d’une cuve lave-mains de 15 litres et d’une cuve de rinçage de 20 litres.
Prix : 14 000 €.
Le gyrobroyeur à largeur variable à lames rotatives de Clemens entretient l’enherbement sur 1,15 à 2,15 mètres de large, tout en nettoyant le cavaillon. En effet, cet outil peut être combiné avec les disques émotteurs, les étoiles bineuses ou encore les tondeuses rotofil de la marque. L’entraînement est assuré par une prise de force à 540 tr/min. Un distributeur à double effet assure le réglage hydraulique de la largeur. Les deux porte-lames rotatifs sont équipés chacun de deux lames à mouvement libre. La hauteur de coupe est ajustable via des roues de terrage avant et arrière.
Prix : N.C.
La rampe HPOD est un porte-outils interceps double conçu pour nettoyer deux rangs par passage dans des vignes plantées entre 2 et 3 mètres. Elle se monte sur le relevage 3 points d’un tracteur et est équipée d’un attelage de catégorie 2, afin que l’on puisse y accrocher un outil interrang pour augmenter encore le débit de chantier. Il en résulte un engin imposant mesurant 4,67 m de largeur hors tout lorsqu’il est entièrement déplié et 2,67 m en position de route. Un suivi automatique du sol permet de travailler à une profondeur constante. La rampe est équipée d’un contrôle de largeur intégré et d’une compensation de trajectoire pour travailler bien droit, même sur terrain irrégulier. Elle dispose aussi d’un système d’effacement en cas de contact avec un obstacle.
Prix : N.C.
Le Raptor 220 est un déchaumeur viticole conçu pour le travail du sol dans des vignobles plantés à 3 mètres de large. Il est équipé de dents avec sécurité double ressorts et offre une pression de travail de 550 kg. Pensée pour les sols difficiles, sa structure est en acier haute densité. Différents types de dents sont proposés. Pour du décompactage de printemps, on emploiera des dents de déchaumage, pour du scalpage d’entretien l’été, des ailes d’hirondelle. L’étançon des dents permet d’adapter toutes les pointes standards du marché. Le rouleau arrière V-Ring de 600 mm assure le rappui. Cet outil polyvalent améliore la structure du sol tout en préservant la vigne.
Prix : N.C.