l a suffi d’une coque en papier pour révolutionner les codes du packaging.
« L’étui seconde peau » développé par la manufacture James Cropper aux abords du parc national de Lake District (Royaume-Uni) pour Ruinart, officiellement présenté en 2020 lors du salon Wine Paris / Vinexpo, est certainement l’oeuvre la plus aboutie en matière de packaging de la maison rémoise.
100 % papier, 100 % recyclable, durable, neuf fois plus léger que les précédents coffrets, permettant selon Ruinart de réduire de 60 % l’empreinte carbone, la coque qui épouse parfaitement les bouteilles de champagne de la maison coche toutes les cases du « chic minimaliste ».


Multi-primé - on compte 8 disctinctions à ce jour pour l’étui seconde peau -, la coque en papier qui habille les cuvées R, R millésimé, rosé et blanc de blancs (75 cl) se décline désormais sur les magnums, ce qui entraîne un doublement de la surface de l’étui, particulièrement adapté aux magnums blanc de blancs de la maison dont la bouteille est claire. Quant à la généralisation de l’étui seconde peau, elle sera effective d’ici à 2022 avec l’envie pour la marque de voir ce type de projet se développer dans d’autres maisons.
« Nous pensons que ce type de solution respectueuse de l’environnement doit être partagée pour faire avancer les choses. En effet, le procédé de fabrication packaging n’est pas déposé et nous espérons que d’autres maisons s’en inspireront à l’avenir », ajoute Marie Lipnitzky, International Brand Manager et chef de projet sur l’étui seconde peau pour Ruinart.
En parallèle, la Maison Ruinart a proposé à l’artiste Antonin Anzil d’intervenir sur l’étui seconde peau de 20 magnums de Ruinart Blanc de Blancs*, cuvée phare de la maison. Il y a sculpté une représentation du vignoble historique de la Maison, situé à Taissy, sur la Montagne de Reims, où Ruinart vient de lancer un projet de vitiforesterie en faveur de la biodiversité.
Cette édition de 20 pièces uniques est disponible uniquement à la Maison Ruinart, à Reims, à partir de fin octobre, au prix de 550 €.*