our lancer son pôle d’accompagnement phytosanitaire, le cabinet Derenoncourt vient d’embaucher une consultante, Pauline Lagarde. Ingénieure agricole viti-œno, elle interviendra auprès des propriétés souhaitant passer au bio, voire à la biodynamie. Se positionnant en complément des consultants viti-œno, cette offre a pour objectif d’accompagner les propriétés vers le bio à court ou moyen terme.
« On prend le temps. Il ne faut pas faire l’erreur d’aller trop vite dans la conversion et risquer des pertes de rendement systématiques, explique Simon Blanchard, associé-consultant du cabinet Derenoncourt. Tout dépend de la propriété, à la fois techniquement et humainement. » Le cabinet, fondé par Stéphane Derenoncourt, juge en effet que l’implication du personnel est tout aussi importante que l’état du matériel. Son approche globale prévoit ainsi la réalisation d’un audit de la propriété en préalable à la rédaction d’un cahier des charges.


Tout juste lancé, ce pôle a déjà des demandes d’audit pour la campagne viticole en cours. « Depuis deux ans, nos clients demandent de l’aide pour des traitements plus propres. La pression est latente pour les consommateurs comme les applicateurs », souligne Simon Blanchard. Pour l’œnologue deux-sévriens, il n’y a pas de débat : « Le bio est l’avenir d’une viticulture plus propre. Même avec des doses plus faibles, la viticulture raisonnée utilise toujours des produits conventionnels. En bio, le vigneron est en sous-dosage permanent, il privilégie fortement la prévention. »
Pour lancer son nouveau pôle d’accompagnement phytosanitaire, le cabinet Derenoncourt vient d’embaucher une nouvelle consultante, Pauline Lagarde. Ingénieur agricole viti-œno, elle interviendra à la demande des propriétés souhaitant passer au bio, voire à la biodynamie. Se positionnant en complément des consultants viti-oeno, cette offre a l’objectif d’accompagner les propriétés vers le bio. A court ou moyen terme.
« On prend le temps. Il ne faut pas faire l’erreur d’aller trop vite dans la conversion, et risquer des pertes de rendement systématiques » explique Simon Blanchard, associé-consultant du cabinet Derenoncourt. « Tout dépend de la propriété, à la fois techniquement et humainement. » Le cabinet fondé par Stéphane Derenoncourt juge en effet que l’implication du personnel est tout aussi important que l’état du matériel. Son approche globale prévoit ainsi la réalisation d’un audit de la propriété en préalable à la rédaction d’un cahier des charges


Tout juste lancé, ce pôle a déjà des demandes d’audit pour la campagne viticole en cours. « Depuis deux ans, nos clients demandent de l’aide pour des traitements plus propres. La pression est latente pour les consommateurs comme les applicateurs » souligne Simon Blanchard. Pour l’oenologue deux-sévriens, il n’y a pas de débat : « le bio est l’avenir d’une viticulture plus propre. Même avec des doses plus faibles, la viticulture raisonnée utilise toujours des produits conventionnels. En bio, le vigneron est en sous-dosage permanent, il privilégie fortement la prévention. »