epuis l’entrée en vigueur du nouveau règlement européen 2018/848, qui exige que tout le matériel de reproduction végétal implanté dans une parcelle soit bio, les viticulteurs bio devaient faire une demande de dérogation sur le site semences-biologiques.org pour planter des plants conventionnels.
Face aux difficultés rencontrées par les pépiniéristes (le cuivre seul ne permettant pas de contenir le mildiou), l’INAO a repassé dans une décision du 10 janvier 2024, les plants de vignes en « autorisation générale » pour une durée d’un an minimum.
Pour aider la pépinière française à évoluer, les partenaires du projet PepVitiBio travaillent à un guide des bonnes pratiques permettant d’appliquer le futur cahier des charges AB. En 2035, les viticulteurs seront dans l’obligation d’utiliser des plants certifiés.