u 19 au 21 avril, le second Sommet de la viticulture durable, 2nd Sustainable Winegrowing Summit, s’est déroulé en ligne avec l’intervention d’une vingtaine de viticulteurs et dirigeants de domaines, qui ont expliqué ce qu’ils faisaient en termes d’environnement, de préservation des ressources, de biodiversité, mais aussi au niveau sociétal et économique.
Ils représentaient les régions qui comptent aux Etats-Unis, la côte ouest en tête avec la Californie, l’Oregon et l’état de Washington ainsi que l’état de New York.
Les préoccupations se montrent très différentes selon les exploitations. Le réchauffement et la gestion de l’eau arrivent en tête des soucis de la côte occidentale, même en Oregon qui était jadis connu pour son « cool climate ».
La démarche rejoint certains points de la certification HVE et de la charte qualité française Vignerons Engagés (créée en 2010 sou le nom de Vignerons en développement durable). Pour le consommateur, il demeure très difficile de savoir ce qui est effectif dans les vignes ou en cave, ce qui relève de la communication et ce qui est quantifié et vérifié.
Les certifications « sustainable » (durable) diffèrent selon les régions : CSWA, California sustainable winegrowing alliance, NAPA GREEN, LIVE sustainable pour le Pacifique-Nord-Ouest, Long-Island Sustainable Winegrowing etc.
Elles peuvent s’ajouter aux labels biodynamiques internationaux (Demeter) ou bio nationaux (USDA organic).