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L’accord de Brexit ne soulage que partiellement les vins français
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Encore des inconnues
L’accord de Brexit ne soulage que partiellement les vins français

Les exportateurs du vignoble s’inquiètent encore du calendrier d’adoption du texte et de détails de mise en œuvre dès ce premier janvier.
Par Alexandre Abellan Le 30 décembre 2020
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L’accord de Brexit ne soulage que partiellement les vins français
«

 L’accord trouvé le 24 décembre dernier et avalisé le 25 décembre par les ambassadeurs des 27 Etats membres est un réel soulagement » salue un communiqué de la Fédération des Exportateurs de Vins et Spiritueux de France (FEVS). La magie de noël évite un no-deal, avec ses risques de retours de droits de douanes, de quotas ou de nouvelles formalités administratives. « Même si les échanges avec le Royaume-Uni pays tiers seront moins fluides qu’au sein du marché intérieur, cet accord va apporter plus de sécurité et de simplicité pour les exportateurs français » rassure César Giron, le président de la FEVS.

Soulagée par cette issue, la FEVS conserve encore quelques inquiétudes sur les modalités de sortie du Royaume Uni du marché commun euroépen. Mis en Å“uvre temporairement à la suite du vote des ambassadeurs, l’accord du Brexit doit désormais être voté dans son principe par les parlements de la Grande Bretagne et de l’Union Européenne « pour éviter tout risque de rupture brutale des échanges, qui serait particulièrement dommageable pour l’ensemble des opérateurs » prévient la FEVS.

Question de leur application

Les exportateurs appellent également à des précisions sur « les conditions pratiques de mise en Å“uvre de l’accord. Avec un accord conclu le 24 décembre, il est évident que les entreprises n’ont pu anticiper l’ensemble des règles adoptées par le Royaume-Uni et l’Union européenne, posant la question de leur application dès le 1er janvier 2021 ».

Communiquées ce 28 décembre, les commentaires de la FEVS s’inquiétaient que « le projet d’accord ne contient pas, à ce stade, de régime clair sur la protection des indications géographiques, qui sont un élément important du commerce des vins et spiritueux ». Comme l’indique le Comité Européen des Entreprises Vins (CEEV), une annexe spécifique sur l’origine des produits fait désormais partie intégrante de l’accord.

Pas de VI-1

Le secrétaire général du CEEV, Ignacio Sánchez Recarte, précise sur Twitter que les pratiques Å“nologiques de l’Organisation Internationale de la Vigne et du Vin (OIV) sont incluses et qu’il n’y aura pas d’obligation de certification VI-1 (une surcharge administrative qui aurait été particulièrement coûteuse).

 

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