menu burger
Lire la vigne en epaper Magazine
Accueil / Viticulture / La justice requiert la relaxe pour les deux châteaux impliqués
La justice requiert la relaxe pour les deux châteaux impliqués
Lire plus tard
Partage tweeter facebook linkedin

École de Villeneuve-de-Blaye
La justice requiert la relaxe pour les deux châteaux impliqués

Le parquet a requis la relaxe mercredi 20 mars à Libourne (Gironde) au procès inédit de deux châteaux bordelais qui avaient procédé en 2014 à l'épandage de fongicides près d'une école où 28 élèves et une enseignante avaient été pris de malaises.
Par AFP Le 21 mars 2019
Lire plus tard
Partage tweeter facebook linkedin
La justice requiert la relaxe pour les deux châteaux impliqués
"

Il n'y a aucun lien de certitude sur le lien de causalité entre les épandages et les malaises" a conclut la procureure Sandrine Ballanger lors de son réquisitoire le 20 mars au tribunal correctionnel de Libourne. Celle-ci a demandé "plutôt une relaxe pour les deux châteaux impliqués dans l'intoxication des éléves de l'école de Villeneuve-de-Blaye. 

Témoignage d'une élève

Les deux domaines d'appellation côtes-de-Bourg comparaissaient en tant que personnes morales pour «utilisation inappropriée de produits phytopharmaceutiques».
Le 5 mai 2014 à l'école primaire de Villeneuve-de-Blaye (Gironde), «beaucoup de gens se sont sentis mal, la maîtresse a eu un malaise, on avait mal à la tête, à la gorge, on avait les yeux qui piquaient», a raconté la jeune Maélia.
Le tribunal a visionné le témoignage de cette élève diffusé à l'époque sur France 3 à la demande de Me François Ruffié, avocat de la Sepanso (association de protection de la nature), partie civile au côté d'une autre association écologiste, Générations Futures.

Deux châteaux avaient traité ce jour-là

L'école de Villeneuve est située tout près des parcelles des deux châteaux qui avaient été traitées ce 5 mai 2014, avec des produits autorisés..
Castel La Rose, en agriculture conventionnelle, avait utilisé les fongicides Eperon et Pepper. Quant à Escalette, en «bio», il avait épandu de la bouillie bordelaise, de l'Héliocuivre et de l'Héliosoufre S.
 

Le tribunal correctionnel rendra sa décision le 30 avril à 13h30.

Vous n'êtes pas encore abonné ?

Accédez à l’intégralité des articles Vitisphere - La Vigne et suivez les actualités réglementaires et commerciales.
Profitez dès maintenant de notre offre : le premier mois pour seulement 1 € !

Je m'abonne pour 1€
Partage Twitter facebook linkedin
Soyez le premier à commenter
Le dépôt de commentaire est réservé aux titulaires d'un compte.
Rejoignez notre communauté en créant votre compte.
Vous avez un compte ? Connectez vous

Pas encore de commentaire à cet article.
vitijob.com, emploi vigne et vin
Gironde - CDD Château de La Rivière
Côte-d'Or - Stage GVB WINE
La lettre de la Filière
Chaque vendredi, recevez gratuitement l'essentiel de l'actualité de la planète vin.
Inscrivez-vous
Votre email professionnel est utilisé par Vitisphere et les sociétés de son groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici . Consultez notre politique de confidentialité pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits. Notre service client est à votre disposition par mail serviceclients@ngpa.fr.
Viticulture
© Vitisphere 2025 -- Tout droit réservé