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Effervescent
Tout va bien pour le crémant de Loire

Face à des volumes 2018 conséquents, la demande du négoce reste forte dans la plus grosse AOC de bulles ligérienne. Et les cours se tiennent.
Par Patrick Touchais Le 21 novembre 2018
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«

Exceptionnelle ! " D’un mot, Christian Pauleau, le président du Crémant de Loire, résume la vendange 2018. "Qualité et quantité sont au rendez-vous. Un gros volume, même. A tel point qu’il, « est clair que certains devront distiller du surplus », annonce Christian Pauleau.

Les négociants ont bien rempli leurs chais. « On nous a apporté plus que ce qu’on imaginait », indique Bernard Jacob, le patron d’Orchidées Maisons de vin (ex-Ackerman). Généralement, les entreprises qui achètent des moûts et des raisins, complètent par quelques lots de vin de base pendant la campagne. Cette année, elles sont déjà couvertes. « Au final, je pense que les achats de raisins, moûts et vins du négoce seront sûrement supérieurs à ceux de l’an passé », estime Bernard Jacob, également président des négociants du Val de Loire.

Durant la dernière campagne, les maisons avaient acheté près de 96 000 hl contre 85 500 en 2016-2017, selon les enregistrements d’Inter Loire. Cette année, la barre des 100 000 hl sera certainement franchie.

Maintien de la fermeté des cours

Malgré cet afflux de matière première, les cours des moûts se sont tenus, même raffermis progressent de 2 % par rapport à 2017. « J’ai obtenu un prix légèrement supérieur à l’an passé », témoigne un producteur des Verchers-sur-Layon, qui a vendu sans souci 750 hl au même négociant que d’habitude. « Cela correspond bien à la demande du négoce en début de campagne : des volumes identiques à l’an passé et des prix stables, voire un peu supérieurs », livre la courtière Christine Touron.

Le prix du moût est passé de 167 à 171 €/hl en moyenne. « Même si on a une grosse récolte, l’AOC est en bonne santé. Et sur les bulles, on peut lisser sur plusieurs années. Pour la fin de campagne, je ne suis pas inquiet. Je pense que les cours du vin de base vont se tenir », indique Christian Pauleau.

D’autant qu’après deux petites années, certains opérateurs – producteurs comme négociants – avaient besoin de refaire du stock.

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