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Les côtes-de-Provence rosés sauvent la mise
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Grande distribution
Les côtes-de-Provence rosés sauvent la mise

À fin octobre 2016, les ventes des côtes-de-Provence rosé affichent un recul de 3 % en volume en hypers et super, selon IRI. Un résultat qui rattrape les mauvais résultats des ventes de l’été dans le circuit.
Par Chantal Sarrazin Le 05 décembre 2016
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Les côtes-de-Provence rosés sauvent la mise
- crédit photo : Chantal Sarrazin
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es producteurs provençaux eu chaud ! Après un été catastrophique - les ventes cumulées des côtes de Provence rosés ont plongé de 9,3 % en volume en hypers et supers à mi-août 2016 selon IRI par rapport à la période précédente – l’arrière saison a permis de rattraper les pertes. A fin octobre 2016, les sorties des côtes de Provence rosés en GMS enregistrent en effet un recul de 3 % en volume, avec 25,6 millions de litre commercialisés et de -1,4 % en valeur à 164 millions d’euros.

Les ventes ont redressé la barre en septembre

« Le marche du rosé au global a souffert en grande distribution, observe Laurent Rougon, président de la cave coopérative Les Comptoirs des Vins de Flassans. Nous n’avons pas été épargnés. Après les attentats de juillet à Nice, les ventes ont considérablement perdu de vitesse dans la région, ainsi qu’à Paris. Elles ont redressé la barre à partir du mois de septembre. » Reste qu’au-delà de la conjoncture, les côtes-de- Provence pâtissent de la hausse de leur prix moyen de vente en GMS : 4,80 €/l, soit +3 % d’augmentation par rapport à fin octobre 2015. « Nous compensons les pertes dans ce circuit à l’export où nos ventes sont en progression de + 22 % depuis le début de l’année, poursuit Laurent Rougon. C’est un facteur important de l’équilibre de notre marché car ce débouché est passé de 10 % en 2007 à plus de 21 % en 2015. »

Campagne 2016-2017

Et en ce début de campagne, la demande à l’export renchérit. « Le cours moyen du vin en vrac demeure ferme, constate Laurent Rougon. Nous vendons du vin tous les jours. Les acheteurs français d’envergure ne sont, toutefois, pas encore passés aux achats. L’appellation a en effet reconstitué son stock par rapport aux années précédentes, et il n’y a donc aucune précipitation à l’heure actuelle. » La confiance reste de mise. « Nous avons du vin, et donc du choix, de plus 2016 est un très bons millésime », affirme Laurent Rougon.

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