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Vins durables : le négoce européen pilote l’harmonisation de l’empreinte environnementale
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Vins durables : le négoce européen pilote l’harmonisation de l’empreinte environnementale

Par Marion Ivaldi Le 10 décembre 2014
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Vins durables : le négoce européen pilote l’harmonisation de l’empreinte environnementale
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n matière d’empreinte environnementale, les Etats européens, les entreprises, ont chacun leur méthode. La Commission européenne veut remédier à ce bazar méthodologique et a impulsé la création de groupes de travail par filière de productions ou produits. Pour le vin, c’est le Comité européen des entreprises vins (CEEV) qui pilote le projet, a fait savoir la représentation européenne du négoce viticole le 8 décembre. Différents partenaires sont également associés comme le Comité interprofessionnel du vin de champagne, Pernod Ricard Espagne, la Fédération des verriers européens (FECE), l’Association européenne des bouchons (CELiège), Nomacorc, l’Amcor, la Chaire Unesco sur les cycles de vie et le changement climatique… Le travail se veut participatif et tous ceux qui le souhaitent sont invités à apporter leur contribution auprès du CEEV ou sur le wiki créé par la Commission européenne sur le sujet.

Pour l’instant, le projet en est encore à une phase de consultation et la phase opérationnelle devrait débuter en février prochain. « Nous devons étudier ce qui peut s’insérer ou non dans la méthodologie de calcul de l’empreinte environnementale » explique Aurora Abad, en charge du dossier au CEEV. Mais la Commission européenne a déjà fourni un cadre assez clair : le calcul doit prendre en charge l’amont et l’aval de la filière. « Nous intégrons à ce titre le packaging » précise Aurora Abad.

Ce travail ira-t-il jusqu’à une communication grand public, via un logo par exemple ? « C’est une des questions sur laquelle chaque filière est amenée à se positionner. Nous réfléchirons comment la filière vin peut mieux communiquer en B to B ou B to C» indique Aurora Abad. Chaque filière devrait ainsi choisir de communiquer ou non sur l’empreinte environnementale.

La méthodologie de calcul devrait être opérationnelle pour 2016.

Illustration : Contre-étiquette d'un vin néo-zélandais

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