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Plus besoin de recevoir un conseil stratégique pour se fournir en phytos
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Protection du vignoble
Plus besoin de recevoir un conseil stratégique pour se fournir en phytos

La révision du CSP est lancée. Sa nouvelle version devrait favoriser le volontariat et s’intéresser à la transition agroécologique des exploitations.
Par Marion Bazireau Le 19 avril 2024
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Plus besoin de recevoir un conseil stratégique pour se fournir en phytos
La mission lancée par le gouvernement doit aussi se pencher sur la séparation de la vente et du conseil. - crédit photo : Adobe Stock
A

près avoir pris un décret allongeant d’un an la durée de validité des certiphytos, la ministre déléguée de l’Agriculture Agnès Pannier-Runacher a convoqué ce 18 janvier le Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux (CGAAER), les syndicats agricoles, les Chambres, les représentants du négoce, ceux des coopératives, et ceux des firmes pour lancer la mission de révision du conseil stratégique phytopharmaceutique (CSP). Les propositions législatives du CGAAER sont attendues dans deux mois.

Alors qu’il était obligatoire deux fois par période de cinq ans pour obtenir le certiphyto, le futur conseil stratégique devrait être basé sur le volontariat et davantage tourné vers la transition agroécologique des exploitations. « L’enjeu est de mettre en place un conseil qui soit parfaitement adapté aux besoins des agriculteurs pour qu’ils s’y intéressent. En plus des phytos, il pourrait par exemple aborder la gestion des sols ou l’agrivoltaïsme » illustre le cabinet d’Agnès Pannier-Runacher.

Vers une « vraie » séparation de la vente et du conseil

Certains revendeurs pratiquant encore un conseil et le dispositif des certificats d'économies de produits phytos (CEPP) peinant à se concrétiser, le CGAAER doit aussi trouver les moyens d’améliorer la séparation de la vente et du conseil, « un principe cher au Président de la République », rappelle le cabinet d’Agnès Pannier-Runacher. Actuellement capitalistique, la séparation de la vente et du conseil pourrait devenir opérationnelle, « avec des comptes et des filiales disjointes ».

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Benoît Ab-der-Halden Le 23 avril 2024 à 12:06:42
Gageons que la solution qui sortira de la consultation sera contrôlée sur le terrain une fois voté par le Parlement... Les conseillers indépendants n'ayant pas d'aides directes ou indirectes de l'Etat finiront sinon par mourir à petit feu...
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