ntéressant pour réduire les intrants phytosanitaires, les produits de biocontrôles ne sont pas suffisants pour s’en passer définitivement et assurer pleinement la protection d’un rendement viticole enseigne les dernières rencontres digitales de la Factory de Vitisphere, visibles en ligne. Nicolas Aveline, de l’Institut Français de la Vigne et du Vin, note ainsi que le biocontrôle est moins à voir comme une solution miracle que comme un complément. U compris de techniques prophyllaxiques. Le docteur Amelia Caffarra, chercheuse agronome spécialisé dans les maladies de la vigne pour ITK indique que la gestion des données météorologiques permet de mieux modéliser et prévoir la pression sanitaire. En lien avec la phénologie de la vigne.
Adel Bakache, conseiller en agro-équipements et viticulture de précision au service vigne et vin de la Chambre d'Agriculture de la Gironde, évoque également les leviers permettant aux matériels de pulvérisation d’être plus performants et moins polluants. Il lutte notamment contre les idées reçues et « l’impression que ça fonctionne, que l’on est expert ». Olivier Zekri, le responsable Recherche, Analyses, Sélection & Prémultiplication des Pépinières Mercier revient sur les enjeux d’adaptation du matériel végétal, y compris avec le défi de trouver des itinéraires de réduction des intrants avec de nouvelles variétés résistantes. Un des outils d’avenir de la génétique viticole pour réduire les intrants.
Pour approfondir ces sujets, deux ateliers complémentaires sont disponibles : un webinaire de Certis, concernant le cuivre, et une présentation France Pulvé, au sujet du matériel de pulvérisation, disponible en cliquant ici.