link ? A part à Paris, le reste de la France n’est pas encore concerné. Il s’agit d’un service digital permettant de recevoir ses courses en ligne en moins de 10 minutes. L’entreprise allemande, créée en décembre 2020, a déjà plusieurs magasins dans la capitale et connait un certain succès. Elle annonce avoir confié à Stéphane Derenoncourt le soin de réaliser une sélection de vins, pensée pour simplifier la vie de consommateur, comme l’indique Charles d’Harambure, directeur général de Flin France. « Entre les médailles, les recommandations des commerces, les belles étiquettes et les différentes appellations, il est parfois difficile d’acheter une bouteille en confiance. En laissant carte blanche à Stéphane Derenoncourt dans le cadre de ce partenariat exclusif, nous entendons donc faciliter la vie de nos clients qui n’auront désormais plus besoin de flâner indéfiniment dans les rayons des supermarchés sans gage de qualité, ou encore de se précipiter chez le caviste avant que celui-ci ne ferme ».
L’œnologue a choisi 60 étiquettes d’un prix compris entre une dizaine d’euros et une cinquantaine d’euros. Tous les jours de la semaine, les consommateurs pourront commander ces bouteilles issues des vignobles français et étrangers entre 8h et minuit. Au total, Flink propose 169 références de vins. Agés en 25 et 50 ans, urbains actifs, les utilisateurs de Flink consomment en priorité des vins blancs, puis rosés et enfin des rouges. Cette tendance est néanmoins observées sur les derniers mois, l’automne et l’hivers qui viennent pourraient modifier le classement, et positionner les rouges en tête du peloton.