our pouvoir concerner les activités Å“notouristiques, le plan de soutien arrêté par le comité interministériel du tourisme ce 14 mai doit être adapté pose Hervé Novelli, le président du Conseil Supérieur de l’Œnotourisme (CSŒ). Alors que pèsent les incertitudes sur la saison estivale, les mesures gouvernementales permettent de maintenir l’activité partielle jusqu’à la fin 2020, d’obtenir des exonérations de cotisations sociales de mars à juin, d’accéder à un fonds de solidarité nationale, de demander un prêt garanti par l’État bonifié…
Mais en l’état, « ces mesures peuvent difficilement concerner les acteurs de l’Å“notourisme. Il y a besoin d’ajustements. Très souvent, les activités Å“notouristiques sont enchâssées dans les activités d’exploitations globales, ce qui fait ressortir les entreprises viticoles comme trop importantes pour bénéficier de ces d’aides » explique Hervé Novelli. Soulignant que s’il y avait une isolation comptable les activités Å“notouristiques pourraient bénéficier du plan tourisme, l’ancien ministre se montre cependant confiant.


« Je suis optimiste sur la possibilité de donner accès aux entreprises Å“notouristiques à des aides » estime Hervé Novelli, qui attend la mise en place du plan gouvernemental pour que des leviers d’accès soient actionnés.