a Cité du Vin conforte ce mois son statut de réussite œnptouristique. Ainsi, « les activités internationales de la Cité du Vin à Bordeaux pourraient constituer une source d’inspiration [pour] valoriser à l’étranger notre savoir-faire gastronomique » esquisse le dernier rapport d’informations de la Commission des Affaires Étrangères, déposé ce 3 octobre à l’Assemblée Nationale et portant sur la stratégie de « la diplomatie culturelle et d'influence de la France ».
Ce 8 novembre en Australie, à l’occasion de l’assemblée générale du réseau des dix Grandes Capitales du Vin, le prix « Special Achievement, Best Of Wine Tourism Award » a été décerné à la Cité du Vin « pour son rayonnement international et l'envergure de son offre culturelle ». Soit une reconnaissance de la vocation mondiale et pas seulement bordelaise de l’attraction touristique.
Source d’inspiration, la Cité du Vin sert plus directement d’exemple à la Cité du Rhum qui est à l’étude à Fort-de-France, en Martinique. En octobre dernier, Philippe Massol, le directeur général de la fondation pour la culture et les civilisations du vin, a ainsi participé à un forum au titre évocateur : « et si la Martinique créait sa Cité du Rhum : l’exemple de La Cité du Vin à Bordeaux ». Ces 21-22 novembre, une délégation martiniquaise est venue visiter la Cité du Vin pour piocher de bonnes idées à la Cité du Vin. Un vrai exemple d’influence, alors que la fondation bordelaise se prépare à la prochaine étape : développer des projets de partenariats pour monter des actions culturelles dans le monde.