our la lutte contre mildiou, le cymoxanil, les produits à base de CAA et ceux à base d’anilides restent limités à deux applications maximum, avec une association obligatoire avec un autre mode d’action. Ceux à base de QoI sont toujours limités à une application de préférence, voire deux en cas de risque de black-rot après la fermeture de la grappe. L’amétoctradine (famille des QoI-D ou QoSI), la cyazofamide et l’amisulbrom (famille des QiI) figurent toujours dans le même groupe. Les produits qui en font partie restent limités à deux applications, avec de préférence un seul produit par famille. Le fluopicolide est restreint à une seule application. Les autres antimildious ne font pas l’objet de préconisations particulières.
Pas de changement non plus pour les antioïdiums. Les IDM sont toujours limités à deux applications non consécutive avec éventuellement une supplémentaire après la fermeture de la grappe en cas de risque de black-rot. Mais les experts conseillent de ne réaliser qu’une application par matière active.
Ils recommandent toujours de restreindre les QoI à une application voir deux en cas de risque de black-rot après la fermeture de la grappe. Ils préconisent deux applications au maximum voire une seule de préférence pour les produits à base d’azanaphtalènes (proquinazide, quinoxyfène) et d’aryl-phényl-kétones (métrafénone, pyriofénone). Ils limitent les produits à base de spiroxamine et ceux à base de SDHI (boscalid, fluopyram, fluxapyroxad) à deux applications.
Pour la lutte contre le botrytis , la règle « un seul produit par famille chimique et par an » avec une alternance pluriannuelle reste de mise.
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