ans alcool, allégé en alcool, boisson à base de vin… Quel que soit le type de produit, le marché des vins (et des boissons) en dessous de 9° s’éveille paresseusement. Chacun voit un frémissement, prédit un avenir glorieux sans que le segment ne s’épanouisse de façon indiscutable. Le marché croît sans franche expansion alors que l’on sait la demande existante. Pourquoi ? Est-ce une question de style de produit ? Certains y voient là l’explication et travaillent à des boissons se voulant le duplicata organoleptique exact de leurs modèles alcoolisés (ici et là). D’autres pensent qu’il faut cibler et multiplier les niches en choisissant des typologies de consommateurs presque déjà acquis. Enfin, il y a ceux qui pensent que c’est une question d’image, le produit ayant pris la poussière dans les fonds de rayons. Il s’agit alors de le replacer dans un univers de consommation moderne ou bien, comme les néo-zélandais, de le rendre plus luxueux, plus chics. Dans tous les cas, chacun se raccroche à l’univers spécifique du vin que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur de la bouteille. Personne n’a encore essayé de s’en détacher complètement.
Les vins désalcoolisés en quête de marché
Par Marion Sepeau Ivaldi Le 12 janvier 2018
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