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Notre grosse action de communication de l’année, c’est notre participation au Salon international de l’agriculture (Sia) », annonce Thomas Montagne, le président des Vif, lors de l’assemblée générale de la Fédération girondine des caves particulières, ce 9 février, à Artigues-près-Bordeaux (Gironde). Si de nombreux membres du mouvement étaient déjà présents à cette foire annuelle, ce sera la première participation du collectif.
Sibyllin, Thomas Montagne glisse que la participation des Vif n’aura pas été sans complications : « La participation de notre section ne faisait pas plaisir à toute la filière. » Mais il préfère s’étendre sur les objectifs de cette présence : « Tout le monde y passe, du président de la République aux parlementaires et conseillers régionaux ». Cette action se veut également promotionnelle : « 2016 sera l’année du logo », résume le vigneron provençal.
Après avoir investi 300 000 euros dans une campagne d’affichage national mettant en avant le logo signature de leurs collerettes, les Vif investissent 120 000 euros pour présenter leurs spécificités, du 27 février au 6 mars, à Paris. « Cette campagne est onéreuse, j’incite à utiliser et à afficher le logo, sinon elle aura été faite en pure perte », a répété Thomas Montagne dirant son intervention.
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Malgré les attentats du 13 novembre 2015, le salon des VIF s’est tenu à Paris du 26 au 30 novembre, à la Porte de Versailles. Revendiquant le titre de deuxième événement agricole français (derrière le SIA), cet événement a été immanquablement affecté par l’atmosphère pesante de la fin d’année. « Au lieu de 140 000 visiteurs, nous en avons accueilli 110 000 » rapporte Daniel Mouty, le président des salons VIF. « Mais c’est un signe fort. Que des gens se soient déplacés pour le vin, malgré les évènements. Et il s’agissait majoritairement d’acheteurs » conclut-il, optimiste.
Malgré les attentats du 13 novembre 2015, le salon des VIF s’est tenu à Paris du 26 au 30 novembre, à la Porte de Versailles. Revendiquant le titre de deuxième événement agricole français (derrière le SIA), cet événement a été immanquablement affecté par l’atmosphère pesante de la fin d’année. « Au lieu de 140 000 visiteurs, nous en avons accueilli 110 000 » rapporte Daniel Mouty, le président des salons VIF. « Mais c’est un signe fort. Que des gens se soient déplacés pour le vin, malgré les évènements. Et il s’agissait majoritairement d’acheteurs » conclut-il, optimiste.
