ans les rangs serrés des vignobles escarpés, un nouveau venu. Voici l’Hydro 35, le tout nouveau chenillard du constructeur allemand Niko. Compact et robuste, ce modèle conçu pour suivre les traces de son grand frère, plus puissant mais moins compact, l’Hydro 40.
Avec ses 68, 80 ou 90 cm de largeur, l’Hydro 35 se glisse partout, même dans les vignes les plus étroites. Capable de travailler avec précision sur terrain difficile, grâce à ses chenilles de 200 mm montées sur bogies et un châssis suspendu. Sa puissance est délivrée par un moteur Yanmar 3 cylindres à hauteur de 24 cv. Pas de fioritures, mais un rendement optimisé grâce à une prise de force mécanique, plus directe, plus efficace.
Commandé via joystick électrique multifonction, il offre une conduite souple et intuitive. Le siège pivotant à 180°, la sécurité renforcée, et les amortisseurs de vibrations en font un compagnon de travail plus rassurant.
Côté outils, il s’adapte : tirés ou poussés, selon les besoins. Il embarque une pompe hydraulique de 20 L/min de série, avec une option à 28 L/min pour les accessoires plus gourmands comme une tarière. Une autonomie maîtrisée pour une polyvalence accrue.


« L’idée, c’était d’avoir une machine plus compacte, plus stable et surtout plus souple dans l’utilisation quotidienne » explique Benjamin Gauthier, du bureau d’études dédié à la viticulture.
Proposé à 58 600 € HT, ce chenillard s’adresse aux professionnels des vignobles exigeants de Bourgogne Sud, Beaujolais, Dijon Nord ou encore Sancerre via le revendeur Faupin, et au reste de la France par Amos Industrie.