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imples et accessibles, c’est la promesse de WTW relative aux deux assurances contre le gel que ce courtier lance sous la marque Vign’Protect. Simples, dans leur principe du moins, parce que ce sont des assurances paramétriques qui se déclenchent selon un paramètre : une température inférieure à un seuil défini, enregistrée par une station météo durant une période donnée. Accessibles, car WTW propose des contrats pour couvrir des montants modestes.
Le premier de ces contrats, Vign’Protect GelSecure, est également inédit puisqu’il couvre les frais engagés pour lutter contre le gel : des dépenses en bougies, des amortissements d’installations fixes… Dès que la température définie est atteinte, WTW rembourse entièrement le capital garanti.
Le second, Vign’Protect GelAssur Premium, couvre les pertes de récolte. Un peu plus sophistiqué que le précédent, ce contrat comporte des seuils assortis de taux de remboursement. Ici, la garantie s’enclenche à une certaine température, par exemple -2°C mais le capital couvert n’est intégralement remboursé qu’à partir d’un autre seuil, par exemple -5°C. Entre les deux, le remboursement est partiel.
« Avec Vign’Protect GelSecure, on peut couvrir pour 3000 € de dépenses de bougies, indique Mickaël Gorecki, directeur du pôle agricole et viticole de WTW France. Avec Vign’Protect GelAssur, on couvre 50000 € de perte de récolte alors qu’il fallait engager des capitaux beaucoup plus importants, jusqu’à présent, pour bénéficier d’une assurance paramétrique. »
Comme le ticket d’entrée est bas, « 90 % des viticulteurs ont accès à nos contrats », avance Mickaël Gorecki. A quel prix ? L’assureur ne veut rien lâcher pas même une fourchette. Pour seule réponse, il invite les intéressés à demander des devis. Mickaël Gorecki ne veut pas davantage préciser quelle est la compagnie d’assurance derrière ces contrats. En cette année, de lancement, les souscriptions s’arrêtent au 31 janvier. Avis aux intéressés.
