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Face au coronavirus, inquiétude des opérateurs de la filière viticole bordelaise
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Santé
Face au coronavirus, inquiétude des opérateurs de la filière viticole bordelaise

Parmi les trois cas de coronavirus, recensés en France, l’un d’entre eux est hospitalisé au CHU de Bordeaux. Il travaille dans le monde du vin.
Par Colette Goinere Le 27 janvier 2020
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Face au coronavirus, inquiétude des opérateurs de la filière viticole bordelaise
«

 Il s'agit d'un homme de 48 ans, d'origine chinoise mais habitant à Bordeaux » : ce 27 janvier dernier Nicolas Florian, le maire de Bordeaux, a donné ces seuls éléments concernant le premier patient touché par le coronavirus. D'après Nicolas Florian, "il n'a pas beaucoup fréquenté de lieux de vie", de passage à Wuran. 

Spécialiste dans l'investissement foncier

Selon nos informations il s’agit d’un professionnel du vin basé à Bordeaux dont la mission est d’assurer un « lien « pour des investisseurs chinois désireux d’investir dans le vignoble girondin et également pour des producteurs bordelais soucieux de pénétrer le marché chinois. Une façon de fluidifier les relations entre la chine et la France.

Du coté des opérateurs bordelais, on sent une inquiétude diffuse même si chacun pour l’heure reste dans l’expectative. « Nous disposons d ‘un bureau à Shanghai qui emploie trois salariés chinois. Ces derniers sont prudents. Ils se protègent au quotidien. Si la situation venait à empirer fortement, nous prendrions des mesures de rapatriement. Ce n’est pas le cas pour le moment. La Chine représente 25% de notre chiffre d’affaires. Ce pays est stratégique pour nous » précise Marion Besson, responsable marketing de la société de négoce Bouey.

Certains opérateurs ont déjà pris les devants. L’un d’entre eux qui devait se rendre à Chengdu, au salon Tang Jui Hui, du 26 au 28 mars prochain, a préféré se retirer. L’édition 2019 avait rassemblé près de 4000 exposants. Plus de cent entreprises françaises y participaient.

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Tous les commentaires (2)
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tchoo Le 28 février 2020 à 17:50:54
Alors la pour du n'importe quoi, voilà qui s'impose. Les chinois ne sont pas les responsables de la montée de prix de certains vins. Par contre d'un courant d'affaires qui a permis notamment aux vins de Bordeaux de sortir de la crise des années après 2000 oui Mais aujourd'hui on se retrouve avec le problème identique qu'en 2004/2008 avec en plus plusieurs producteurs qui ont subit deux ou trois catastrophe climatiques dans les 5 dernières année
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Robert RIBLET Le 25 février 2020 à 08:02:20
Mort de la Poule aux œufs d'OR ! Le Coronavirus fait des victimes humaines, mais il en fait également parmi nos entreprises Nationale comme l'hôtellerie, la filière viticole et d'autres… Consterné, je donne en exemple le cas traité ce matin sur RTL vers 6:00. C'est le cas d'un Hôtelier de Besançon qui depuis plusieurs années, semble avoir oublié sa clientèle Française à revenus plus modestes. Et cela, parce que trois cars de touristes Chinois remplissaient chaque jour 90% de ses chambres. Comme le disait l'intervenant sur RTL «Les Chinois dépensent beaucoup d'argent». Cet Hôtelier "comme bien d'autres" a donc joué à la roulette en mettant tous ses œufs dans le même panier. Une faute professionnelle basée sur toujours plus de profits. Selon l'intervenant, depuis un mois, cet hôtelier ne voit plus un seul Chinois et toutes ses chambres sont vides. Devons nous le plaindre ? Alors ! comme la filière Viticole, il fait appel à l'argent public et aussi, il se souvient subitement que les touristes Français ça existe. Nous contribuables, devons nous faire les frais de ces erreurs de stratégie et de toujours plus de profits ? NON ! La filière viticole, fort de l'exportation de ses vins à l'Etranger, a elle aussi fait flamber ses tarifs au point que beaucoup de Français ne pouvaient plus acheter de vin. Aujourd'hui et depuis deux mois leurs carnets de commandes sont vides. Eux aussi, pour compenser leurs pertes sèches, ils font appellent à l'argent public. Puis la mémoire leur revenant, ils redécouvrent que «les Français existent !». Alors, pour reséduire la clientèle Française, ils décident de renier sur leur marge. Ce sera sans moi Messieurs.
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