nitiative phare du candidat Emmanuel Macron, les Etats généraux de l’alimentation battent leur plein. Le secteur du vin y est bien représenté, les principales organisations nationales de la production et du négoce y prenant part. Mais le débat peut-il être mené sereinement ? Après l’annonce ministérielle en défaveur du glyphosate, la campagne de l’Inca ajoute un caillou (ou plutôt un gros bloc) dans les rouages de débats déjà suffisamment sensibles. Comment discuter sereinement de relations commerciales, thème du premier chantier des débats, tout en sachant que le second chantier, portant sur une alimentation saine, sûre et durable a déjà des réponses sans que discussions aient eu lieu. On se doutait déjà qu’aucune révolution, en tant que réforme, puisse naître des États généraux de l’alimentation. Il ne faudrait pas qu’ils achoppent sur la formidable opportunité qu’ils sont à être un moteur de concertation. Le seul véritable levier capable d’initier les mutations.
La concertation en prend un coup
Par Marion Sepeau Ivaldi Le 15 septembre 2017
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