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Comment s’impliquer dans le débat public de l’alimentation
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Comment s’impliquer dans le débat public de l’alimentation

Par Marion Sepeau Ivaldi Le 16 septembre 2016
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C

ash investigation est revenu sur les petits écrans mardi dernier. Après, le vin, c’est au tour de l’agro-alimentaire. Les deux débats se ressemblent car ils touchent à "l'écolonomie", mais ils n’abordent jamais la question essentielle des conséquences sociales d’une augmentation du coût de l’alimentation. Il serait sans doute temps de porter la question dans le débat public car elle ne peut être exclue des choix et des orientations prises dans le secteur.

Question débat public, il est intéressant de regarder comment l’Ania, qui représente les industries agro-alimentaires françaises, a géré la diffusion de l’émission en se montrant pro-active. La veille de la diffusion, sa directrice a expliqué comment s’est déroulé le tournage, ce qui n’avait pas été diffusé et comment la parole est encadrée. Le jour suivant l’émission, un vrai/faux a été publié pour rétablir certaines contre-vérités. Et l’on se prend à rêver que la filière viticole française soit en mesure de réagir de façon unitaire et de manière similaire…

De quoi réfléchir alors que les vendanges vont bon train, le cœur un peu plus léger après les petites et grosses pluies rafraîchissantes de cette semaine.

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Tous les commentaires (8)
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rol Le 23 septembre 2016 à 16:50:24
Pour comprendre l'agriculture raisonnée, il faut une Raison ou simplement un Cerveau ..????? mais pour avoir lu cette haine. ,cette rage ..je doute fort qu'à part 1 neurone rouge et 1 neurone vert ...les boites crâniennes ne soient completement vides.....je ne parle meme pas des mots grossiers ou insultants pour tous ceux qui ne sont pas de votre " race ".........il est donc inutile comme l'a tenté de le faire Marion Ivaldi sans prendre parti de tenter d'éclairer......mais pour des enragés sans cerveau , c'est TOTALEMENT inutile ,superflu et une perte de notre temps.....
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craoux Le 20 septembre 2016 à 09:04:17
Suis Ok avec Stéphane quand il pointe cette foutaise qu'est l'agriculture raisonnée .. il faut rappeler ce qu'est ce CONcept > je traite si il y a un problème avéré en évaluant le ratio "perte induite" / "maîtrise de mes coûts - impact recette" (ce qui suppose que le producteur connaisse vraiment sur le bout des doigts ses parcelles et s'y balade fréquemment [pas toujours le cas] pour OBSERVER) et donc, si problème il y a ou se présente .. ben, de toute façon je traite sur la base des cadences préconisées par mon PRESCRIPTEUR qui - rappelons-le - est fortement partie liée avec la marque (lobbying connu de l'agrochimie) ou qui assure le CONseil de terrain pour la coopérative d'approvisionnement .. Agriculture raisonnée : concept marketing pour les CONsommateurs !
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Stephane Le 19 septembre 2016 à 17:44:04
Bonjour, Il serait grand temps en effet que les structures représentant nos filières agricoles ainsi que les médias comme le vôtre faiseur d'opinions prennent conscience que les agriculteurs et surtout viticulteurs ont tout à perdre (santé, économie, environnement, image etc.) à s'obsitner à utiliser des produits phyto issus de la pétrochimie qui ne fait que détériorer nos sols et nous emmène financièrement dans le mur (surtout nos petites exploitations pris à la gorge). A quand une vision positive et véritablement proactive, c'est à dire "sans instiller le doute" envers l'agroécologie (pas le pseudo raisonnée mais bien l'agri bio, unique solution viable !) ?
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Stephane Le 19 septembre 2016 à 17:41:04
Bonjour, Il serait grand temps en effet que les structures représentant nos filières agricoles prennent conscience que l'on a tout à perdre (santé, économie, environnement, image etc.) à s'obsitner à utiliser des produits phyto issus de la pétrochimie et qui ne fait que détériorer nos sols et nous emmène financièrement dans la mur (surtout nos petites exploitations pris à la gorge. A quand une vision positive et proactive envers l'agroécologie (pas le pseudo raisonnée mais bien l'agri bio !)?
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Tony18 Le 19 septembre 2016 à 15:37:19
Nouveau ici je ne puis qu' être outré par cet édito digne des plus grands régimes totalitaires! !! Sbire et laquais de l'industrie chimique agro-alimentaire voilà donc vôtre rôle! !! Nier l'évidence et accumuler les mensonges !! Depuis quand la FNSEA et l'industrie agro-alimentaire se soucient-elles de la santé des consommateurs ?? Seuls la rentabilité et l'argent comptent! !! Et arrêtez de dire que le bio coûte plus cher que le chimique! ! Oui j'ai dit chimique et non pas conventionnel! ! Il faut arrêter de faire croire que le chimique est la norme!! La norme c'est le naturel! La chimie à fait irruption massive depuis 50ans seulement! ! Pour en revenir au prix vous savez très bien que le chimique est moins cher car subventionné par l'Europe! ! Si le naturel recevait les mêmes aides il serait moins cher que le chimique! !! Et emploirait et ferait vivre beaucoup plus de personnes qui auraient ainsi les moyens d'acheter des produits de qualité! ! CQFD!!
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Marion Ivaldi Le 19 septembre 2016 à 11:05:54
Bonjour Gui, Merci de votre commentaire et de prendre part au débat. L'édito ne veut pas prendre la défense de l'industrie agro-alimentaire, il veut simplement compléter une vision qui semble parfois un peu facile. Mon édito veut dire qu'il faut penser à tous et créer les conditions d'accès à une alimentation saine pour tous. Pas pour une élite. Il faut penser à ceux que l'on ne croise jamais au rayon bio et toujours en HD, aux femmes qui travaillent et qui n'ont plus d'énergie pour cuisiner (le travail des femmes est l'un de moteur du développement de l'industrie agro-alimentaire), etc... Acheter moins fréquemment un produit est-il vraiment une solution ? D'où vient l'allongement de l'espérance de vie, si ce n'est des progrès de la médecine et de l'accès de tous à une alimentation diversifiée. Je ne suis pas sûre que ce soit la réponse adéquate, ou du moins la seule à donner. Bien sûr que l'on ne peut continuer à consommer des produits aux ingrédients dangereux pour notre santé, mais mon avis est qu'il faut permettre à tous le monde d'y avoir accès. Ce qui est très loin le cas aujourd'hui et cela inquiétant. Concernant votre remarque pour la conduite bio, c'est très bien que la demande augmente, que le marché se développe. Mais n'oubliez pas non plus que ce système de production a des questions à se poser : bilan carbone moins bon que celui conventionnel, utilisation de cuivre inquiétante pour la vie du sol et celles des utilisateurs, présence d'auxines sur les pommes...
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Massotte Le 18 septembre 2016 à 02:22:27
Il serait grand temps d'arrêter de parler d'écologie (points de vue étriqués) mais de soutenabilité (vision globale). Pourquoi inventer l'écolonomie, alors que dans le monde on parle d'économie soutenable, et que celle-ci intègre l'écologie ? Dans un livre publié aux USA ('Operationalizing Sustainability' chez ISTE/Wiley) le problème de l'agriculture y est abordé. IL faudrait probablement éviter de complexifier et d'intellectualiser les choses alors que tout est, souvent, affaire de bon sens. Merci d'avoir apporté un peu d'intérêt à cette proposition.
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Gui Le 16 septembre 2016 à 21:52:20
Cet édito me fait peur, je ne verrais plus votre site de la meme maniere... Défendre un lobby de la malbouffe est surprenant. Augmentation du cout de l´alimentation? En consommant différemment, rien ne nous oblige á depenser plus, sinon a revoir quoi a quelle frequence acheter tel ou tel produit. Conséquences sociales? Un changement des modes de production pourrait détruire des emplois d´un coté, mais aussi en créer de l´autre. Vous ne parlez pas de santé, ni du consommateur, qui est celui qui achete les vins... et qui demande de plus en plus de vins bio par ailleurs... Si chacun commencait a penser un peu plus global au lieu de se regarder le nombril, c´est toute la chaine qui s´en porterait mieux.
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