our Bernard Farges, en matière d’environnement, l’omerta n’est pas sur la dangerosité des produits mais sur les efforts faits par le vignoble pour améliorer les pratiques. Même s’il emploie une technique de dialectique plutôt connue, Bernard Farges n’a pas tort sur le fond. En dehors des pratiques bio et biodynamiques, les initiatives environnementales de la viticulture ne trouvent pas l’écho médiatique qu’elles mériteraient. Mais est-ce une omerta des médias ou le savoir-faire en matière de communication de la filière qui en est la cause ? Souvent présumée coupable, il est vrai que la viticulture est dans une posture délicate, d’autant que le contexte réglementaire n’aide pas à se sentir à l’aise. Sans LMR dans le vin, difficile d’affirmer la légitimité des pratiques.
Sortir de l’omerta
Par Marion Sepeau Ivaldi Le 22 janvier 2016
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