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Recherche sur les maladies du bois de la vigne : « il est temps de passer à la vitesse supérieure »
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Recherche sur les maladies du bois de la vigne : « il est temps de passer à la vitesse supérieure »

Par Alexandre Abellan Le 12 juin 2014
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Recherche sur les maladies du bois de la vigne : « il est temps de passer à la vitesse supérieure »
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in 2013, recherche viticole et professionnels de la filière se rejoignaient sur un même centre d'intérêt, la première s'emparant de la principale inquiétude des seconds : les maladies du bois de la vigne (esca, black dead arm et eutypiose). L'Institut Français de la Vigne et du Vin annonçait en effet l'ouverture de programmes ambitieux (3 projets de 3 ans pour 3,7 millions d'euros), tandis que se déployait la plate-forme d'échange européenne (COST, reliant essentiellement l'Espagne, la France, l'Italie et le Portugal). Malgré ces initiatives, le compte n'y est toujours pas pour de nombreux professionnels, qui souhaitent plus d'ambition et de moyens. « Il est temps de passer à la vitesse supérieure dans la recherche de solutions contre ce fléau » résume Jean-Louis Salies, le président du Comité National des Interprofessions des Vins d'Appellation (CNIV), pour qui « nous ne pouvons plus continuer, chaque année, à compter les pieds de vigne morts de maladies du bois et tenter de les remplacer ».

Via son conseil exécutif, le CNIV vient de se donner pour mission de rédiger « un cahier des charges en vue de choisir un prestataire qui encadrera le futur programme de recherche (sur un plan technique et scientifique) », de « mettre un place une gouvernance (avec l'aide de l'Etat et de FranceAgriMer) » et « définir le rôle de chacun des partenaires (y compris l’IFV) ». En pratique, cela devrait d'abord passer par un audit « pour savoir ce qui s'est fait et ce qui ne s'est pas fait » précise Jérôme Agostini, le directeur du CNIV. Ce vaste travail de synthèse sera le socle d'une feuille de route qui s'annonce d'avance lourde en investissements et longue dans le temps. « De telles décisions ne se font pas au doigt mouillé » se défend Jérôme Agostini, il faut « structurer les démarches professionnelles et les pistes de recherche. Aujourd'hui on connaît des pistes d'étude, mais ça ne fait pas qu'elles aient donné des résultats ! »

 

 

[Photo : nécrose d'eutypiose partant d'une plaie de taille (IFV)]

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