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Champagne : la révision de l'aire d'appellation n'aboutirait pas avant 2018-2020
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Champagne : la révision de l'aire d'appellation n'aboutirait pas avant 2018-2020

Par Alexandre Abellan Le 12 mars 2013
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Champagne : la révision de l'aire d'appellation n'aboutirait pas avant 2018-2020
I

naugurant des rencontres trimestrielles avec la presse, Pascal Férat (président du Syndicat Général des Vignerons, maison Férat et Fils) revenait notamment sur l'avancé du projet de révision de la délimitation de l'aire d'appellation Champagne. « Il y a une quinzaine de jours, une commission de l'Institut National de l'Origine et de la Qualité (INAO) est venue en Champagne. Nous avons échangé autour de la définition des principes de détermination de la zone parcellaire (la zone géographique globale de production et d'élaboration ayant été fixée il y a 3 ans) ». Pascal Férat « pense que les experts qui auront été nommés, pourront commencer leur travail d’évaluation des terrains à porter de la vigne AOC à l’automne 2013. » D'après le SGV, la révision devrait aboutir en 2018-2020.

Au-delà de l'enjeu de son aire même, l'avenir de l'appelation passe également par son foncier, « le problème le plus récurrent dans le vignoble » pour Pascal Férat. Les acquisitions de vignes en Champagne défraient la chronique pour leurs prix astronomiques (pour en savoir plus, cliquer ici) et posent des problèmes de fond dès lors qu'il s'agit de succession ou même de gestion. Cherchant à aplanir ces difficultés, le SGV précise dans un communiqué étudier « un partenariat avec la Société d'Aménagement Foncier et d'Etablissement Rural (SAFER) ou encore la mise en place d’un groupement foncier viticole ».

Autre sujet évoqué, les pressions fiscales et sociales croissantes pour les exploitations. Le SGV continue de dénoncer la diminution des exonérations patronales sur la main d'oeuvre saisonnière (pour en savoir plus, cliquer ici). Ainsi, « pour un saisonnier réalisant la taille, les charges patronales passent de 75 à 632 euros pour un salaire de 1535,42 euros brut ».

 

 

[Photo de Pascal Férat lors de la conférence de presse : SGV]

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