mis de la langue française, bonjour. À commencer par le lecteur bordelais ayant pris la peine d’envoyer à la rédaction de Vitisphere une lettre anonyme au sobre texte, « SURTOUT NE TE RELIS PAS » et aux coups de stylo rouge pour épingler les fautes de l’article « Médoc : Un cru bourgeois et 140 hectares de vignes en mildiou libre faute de reprise chinoise », signé par votre serviteur. Mea culpa et toutes excuses supplémentaires pour les coquilles qui se nichent dans le flux de publication : les erreurs de plume, fautes d’orthographe, mots oubliés, noms écorchés, syntaxes amputées par un copier/coller…
Si l’erreur est humaine, la perfection reste divine : grâce à l’esprit collectif de nos lecteurs, nous avons la chance de pouvoir améliorer en continu nos contenus. Mais pas besoin d’envoyer un courrier depuis la Gironde (même avec de beaux timbres d’explorateurs), un simple mail à la rédaction (le mien est a.abellan@gfa.fr) ou un bref commentaire sur l’article fautif (l’outil est en bas de page) permet d’améliorer les choses : merci à tous ceux qui nous font remonter ces erreurs pour les corriger. La forme permet de toucher le fond.
Si nous relisons autant que possible nos articles avant publication, la rédaction de Vitisphere lit aussi tous vos commentaires et mails questionnant notre suivi des actualités et nos choix de publication. Dans tous les cas, notre boussole reste l’importance d’informer la filière avec toute la fidélité nécessaire. Une faute d'orthographe étant aussi une infraction à la fidélité en amour ou en mariage comme le définit le Littré, « tu sais bien que nous nous sommes promis fidélité, en dépit de toutes les fautes d'orthographe » écrivait Marivaux dans les Jeux de l'amour et du hasard (1730). Amis de la langue française, bonne journée.