« Cette technique révolutionnaire nous permet en outre d’observer les mécanismes de bio-protection : activations ou inhibitions de différences espèces microbiennes » a expliqué Dr Sofie Saerens, au cours d’une conférence qui a suscité le vif intérêt d’un publique de chercheurs, consultants et œnologues.
Pour illustrer le propos, Nicolas Prost a présenté une large palette de produits vinifiés avec les souches bio-protectrices de levures pré-fermentaires ou de bactéries malolactiques.
Cette dégustation appliquée a permis d’appréhender l’intérêt de la démarche, tant sur des vins conventionnels –dans un but de maîtrise des procédés et de réduction des écarts entre millésimes, que sur des vins vinifiés sans SO2- pour répondre à une demande consommateur croissante.