Bouchons DIAM, l’alliage du savoir-faire et de l’authenticité
En moyenne, 2 à 7 % des bouteilles de vin disponibles sur le marché seraient bouchonnées. Outre la qualité gustative du breuvage, c’est aussi la réputation du vigneron qui peut s’avérer altérée. Et si, pour éviter ce désagrément, vous optiez pour des bouchons de liège de qualité, à l’image de la gamme Diamant de Diam Bouchage, gage d’une neutralité organoleptique incomparable ?
Par DIAM Le Mercredi 19 mars 2025

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n « bon » bouchon doit non seulement assurer une maîtrise parfaite des échanges gazeux entre l’intérieur et l’extérieur de la bouteille, respecter le profil aromatique du vin mais aussi conduire à un vieillissement adapté, quelle que soit la durée de garde. Si le coût entre, bien évidemment, en jeu dans le choix de tel ou tel bouchon, sa capacité à éviter les indésirables goûts de bouchon s’affiche également primordiale. Parfois montrés du doigt, les bouchons en liège ont, ces dernières décennies, fait l’objet de multiples recherches. Car oui, le liège naturel possède de solides atouts. En laissant passer une fine quantité d’oxygène, cette matière poreuse facilite le vieillissement du vin en lui permettant de continuer à se développer lentement, enrichissant ainsi ses caractéristiques organoleptiques.
20 ans d’expérience... qui font toute la différence
Mais attention, différentes qualités de bouchons en liège sont proposées sur le marché. Pour garantir une neutralité sensorielle, certains fabricants proposent un nettoyage des bouchons à la vapeur, s’appuient sur différentes techniques de tri sélectif... Parmi les solutions les plus efficaces, figure le traitement au dioxyde de carbone sans solvant ni produit chimique. Développée à l’origine pour la décaféination du café, cette technique a été améliorée par l’entreprise Diam Bouchage, dès 2004. Vingt ans d’expériences qui ont permis d’affiner le process, pour le rendre encore plus performant et moins consommateur de CO2 et d’énergie. Pour assurer la neutralité organoleptique de chaque bouchon, les deux usines de Diam sont équipées d’un compresseur à haute pression (100 bars), capable de transformer le CO2 en un état dit « supercritique », entre liquide et gazeux. Il combine alors les propriétés pénétrantes du gaz et drainantes du liquide, pour entrer au cœur des granulés de liège et les nettoyer en profondeur.
Cette technique permet d’extraire plus de 150 molécules indésirables dont les TCA, les trichloroanisoles, responsables du goût de bouchon. La diffusion du CO2 se fait de façon homogène, dans un autoclave, garantissant un nettoyage parfait de tous les grains de liège, préalablement broyés. Le CO2 chargé des molécules indésirables est alors décompressé puis évacué vers un séparateur, process unique sur le marché. Repassant à l’état gazeux, il relargue mécaniquement l’intégralité de ces substances. Le CO2 est ensuite filtré, stocké avant d’être réutilisé pour un nouveau cycle de nettoyage. Les molécules écartées sont, elles aussi, recyclées tandis que les granulés de liège nettoyés sont acheminés vers les ateliers de fabrication de bouchons.
À chaque vin son bouchon Diam
Chaque année, près de deux milliards de bouteilles sont bouchées avec l’un des produits porteurs de la technologie Diamant. Cette gamme convient à chaque typologie de vins : Diam pour vins tranquilles, Mytik Diam pour les effervescents ou Setop Diam pour les spiritueux. Pour les vins effervescents par exemple, finis les veines sèches, le durcissement du liège, l’éclatement ou le décollement des rondelles, les phénomènes de chevillage… Chaque bouchon se définit par des caractéristiques mécaniques et des niveaux de perméabilité différents : aux viticulteurs de faire leur choix en fonction de leurs attentes spécifiques.