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Les robots, cheville ouvrière de la viticulture d’avenir
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Du désherbage à la taille
Les robots, cheville ouvrière de la viticulture d’avenir

Alors que la réduction des intrants pèse sur les parcours techniques, le développement d’une robotique viticole permet d’imaginer leur chamboulement.
Par Alexandre Abellan Le 28 novembre 2017
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«

 La robotique est la solution pour rendre les alternatives viticoles crédibles et rentables » pose Christophe Gaviglio (Institut Français de la Vigne et du Vin), devant une salle de conférences comble au Sitevi. Ce 28 novembre, une foule de techniciens montrait son appétence pour une technologie encore balbutiante reconnaît Christophe Gaviglio. « Le marché de la robotisation agricole est tiré par le maraîchage, mais nul doute que le développement viticole va croître » explique le technicien.

Harceler les mauvaises herbes

Se développant surtout pour le désherbage, la robotique viticole se penche actuellement sur le binage. « Avec les robots, on peut se permettre d’intervenir régulièrement et répéter une action de binage pour maîtriser les adventices sans se forcer. On harcèle les mauvaises herbes » explique Christophe Gaviglio. Qui souligne également les changements d’approche, comme avec le robot de tonte Vitirover : « en introduisant de la robotique, il est intéressant de changer l’approche que l’on a de l’entretien viticole. Que ce soit en termes de rythmes, d’énergies… »

Polyvalence

Encore émergentes, ces technologies ne sont pour l’instant portées que par des start-ups. D’où des coûts encore élevés : « 80 000 euros l’enjambeur autonome TED, dont 15 000 € de GPS et 15 000 € de batterie. Sachant que ce sont des séries à un exemplaire » précise le constructeur Matthias Carrière (Naïo Technologies). Pour rentabiliser un tel investissement, tout l’enjeu est que le robot ne soit pas un simple support au désherbage, mais gagne en polyvalence. Que ce soit en épamprant, pulvérisant, voire taillant énumère Christophe Gaviglio.

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