ue va devenir le marché anglais ? Quelques jours après que Teresa May a coché la date du 29 mars pour siffler le coup d’envoi du Brexit, la planète vin se réunissait pour la grande messe de Düsseldorf. L’avenir du marché britannique a animé les discussions sur plus d’un stand. Et une chose est sûre : le monde du vin est dans le brouillard, le vrai du vrai, un authentique « fogg ». Il y a ceux qui ne disent « même pas peur » comme les Italiens qui ne peuvent imaginer une taxation des vins européens par le Royaume-Uni qui a trop de whiskey à vendre sur le Continent pour risquer de les sacrifier sur l’autel de la fiscalité. Il y a ceux qui disent « même pas mal » et se développent comme Millésima. Il y a ceux qui disent « belle opportunité » comme les Sud-Africains qui deviennent un tampon efficace à la dévaluation de la livre. Il y a ceux qui disent « nouvelle stratégie », comme les Champenois qui dégainent l’arme valorisation (le luxe : ça n’a pas de prix). Et il y a ceux qui serrent les prix sous la pression des opérateurs anglais. Mais jusqu’à quand ? Certainement pas trop longtemps. Apparemment, la Chine pourrait être un bon plan B.
Ce qui se dit sur le Brexit
Par Marion Sepeau Ivaldi Le 24 mars 2017
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