près le plan d’action en faveur de la recherche sur le dépérissement de la vigne, présenté en juillet dernier par le CNIV et FranceAgriMer, l’heure est désormais au montage financier. Au côté du fonds du Casdar et de la politique de développement et de recherche de FranceAgriMer, l’Etat est prêt à mobiliser le Plan d’investissement d’Avenir. Reste que la filière doit montrer sa capacité à apporter également des moyens pour bénéficier de ces financements publics. « L’engagement des professionnels est indispensable. La lutte contre les maladies du bois fait partie du programme stratégique de la filière, plan qui a été voté par les interprofessions » a rappelé Jérôme Despey, lors d’une conférence de presse le 25 novembre sur le Sitévi. Indiquant que le ministre jugeait la lutte contre le dépérissement comme un enjeu prioritaire, Jérôme Despey a ensuite rappelé qu’il faudrait faire des choix dans les actions de recherche possible et que l’apport de réponses concrètes aux viticulteurs serait décisif pour trancher.