ette étude qui devrait être confiée à un cabinet d'étude évaluera à l'échelle des soixante-quinze régions membres de l'Arev, les risques de la délocalisation des vignobles, de la modification des structures de production essentiellement familiales et créatrices d'emploi, ainsi que les effets socio-économiques de la déstructuration de la politique qualitative. Le 25 janvier 2011, le budget alloué à cette étude n'était pas encore connu.
Les conclusions sont prévues pour la fin de l'année 2011. Elles devraient permettre la réouverture du débat sur la libéralisation des droits de plantation.
L'Arev, présidée par Jean-Paul Bachy, également président du conseil régional de Champagne-Ardenne, a pris cette initiative lors de son Bureau international qui s'est tenu le 19 janvier à Bruxelles.