e responsable, âgé de 49 ans, viticulteur en coopération, n'y va pas par quatre chemins. « Le marché du vin de table, désormais dénommé vin de France, [...] permettrait d'assurer au producteur le même chiffre d'affaires que l'AOC Bordeaux, mais avec des contraintes en moins », déclare-t-il à notre confrère.
« Pour convaincre, il faut avoir des garanties, comme celle d'assurer un prix de 60 euros l'hectolitre, ajoute-t-il. La solution passe par une contractualisation comparable à ce qui se pratique avec les fruits, les légumes et le lait. C'est un marché qui peut intéresser des particuliers comme les coopératives, à condition de viser un rendement de 100 hectolitres à l'hectare. »