our ceux qui ont le sens de l’aventure, l’Afrique pourrait porter ses fruits et constituer un marché porteur. La consommation de vin y a déjà augmenté de 17,3% entre 2009 et 2013 pour atteindre 864 millions de bouteilles et elle risque de progresser de nouveau de 11% entre 2014 et 2018, si l’on en croit les pronostics de l’IWSR-Vinexpo. Une démographie favorable, une urbanisation qui s’accélère et une classe moyenne en progression sont autant de facteurs qui laissent augurer un potentiel de croissance intéressant en Afrique à long terme, tout en étant – on le sait - hétérogène et non dépourvu de risques pour les investisseurs.
Crédit photo : Nigeria Wine and Spirit Festival



