a torpeur estivale s'installait dans le vignoble français : après le long déroulement de la fleur on voyait arriver, indolentes, les premières estimations de vendanges françaises. Patatras, la belle mécanique s'est grippée ce lundi ! L'enquête anti-dumping et anti-subventions de la République Populaire de Chine s'est ouverte et nous fait sursauter. Voilà qu'elle impose son tempo à tous ceux ayant exporté des vins en Chine depuis 2009. Pour éviter de possibles sanctions douanières, le gouvernement français conseille vivement de coopérer avec les autorités chinoises. Malheur à ceux ayant pris leurs congés, car tous n'ont qu'une dizaine de jours pour se rapprocher de leurs interprofessions et déclarer leurs expéditions !
Dans cet emballement, tout le monde se retrouve sur le pont : du vigneron aux organismes professionnels. Mais les exigences chinoises ne doivent pas mettre des œillères à la filière. Il s'agit d'une enquête, ses conclusions ne sont pas déjà écrites, du moins espérons le ! Si les professionnels européens doivent se plier à ces procédures, il appartient aux politiques et institutions d'Europe de ne pas rompre face à cette pression et de ne pas sembler déjà défaitiste. Rien n'est joué !
Branle bas de combat !
Par Vitisphere Le 05 juillet 2013
L
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craoux
Le 08 juillet 2013 à 09:36:22
Notre savoir faire (?) comme le rappelle "Vent debout", ça veut dire quoi au fait ? Si c'est avoir la capacité de mettre en œuvre des process intégrant tous les correctifs œnologiques disponibles et légaux pour lisser l'effet millésime (en oubliant d'ailleurs le terroir et les levures indigènes !), arrêtons d'avoir ce discours présomptueux ! Les autres pays viticoles savent faire ... Quant au relent "raciste" qui nous est servi quant à l'ignorance du client Chinois, basta ! ... Au fait, le faux "Pinot N" que nos "chers" languedociens du côté de Limoux avaient refourgué au USA, ce n'est pas en Asie que ça s'est passé ! ... Vent debout, esprit rance et peu clairvoyant ...
Notre savoir faire (?) comme le rappelle "Vent debout", ça veut dire quoi au fait ? Si c'est avoir la capacité de mettre en œuvre des process intégrant tous les correctifs œnologiques disponibles et légaux pour lisser l'effet millésime (en oubliant d'ailleurs le terroir et les levures indigènes !), arrêtons d'avoir ce discours présomptueux ! Les autres pays viticoles savent faire ... Quant au relent "raciste" qui nous est servi quant à l'ignorance du client Chinois, basta ! ... Au fait, le faux "Pinot N" que nos "chers" languedociens du côté de Limoux avaient refourgué au USA, ce n'est pas en Asie que ça s'est passé ! ... Vent debout, esprit rance et peu clairvoyant ...
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Vent debout
Le 07 juillet 2013 à 17:25:26
Marre de devoir se plier au capitalo-communisme chinois. Marre de voir notre patrimoine viticole disparaître, nos plus Grands Vins, nos vignes au profit de ces gens qui ne savent à peine faire la différence entre un bordeaux et un bourgogne...et qui pour une grande majorité sont prêts à tout pour faire du pognon. A voir le nombre de faux circulant dans le marché asiat... Et Hollande qui va là-bas pour leur demander d'investir encore plus en France...!Réagissons et protégeons notre savoir-faire, nos produits.Défaisons-nous de le dépendance chinoise et ciblons d'autres marchés.
Marre de devoir se plier au capitalo-communisme chinois. Marre de voir notre patrimoine viticole disparaître, nos plus Grands Vins, nos vignes au profit de ces gens qui ne savent à peine faire la différence entre un bordeaux et un bourgogne...et qui pour une grande majorité sont prêts à tout pour faire du pognon. A voir le nombre de faux circulant dans le marché asiat... Et Hollande qui va là-bas pour leur demander d'investir encore plus en France...!Réagissons et protégeons notre savoir-faire, nos produits.Défaisons-nous de le dépendance chinoise et ciblons d'autres marchés.
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Jih?me
Le 05 juillet 2013 à 23:13:21
Depuis longtemps, que ce soit en matière industrielle ou agricole, on vend à la Chine la corde pour nous pendre (brevets, techniques, savoir-faire, etc.), alors que l'on pouvait très bien anticiper sa stratégie commerciale à venir : nous rendre dépendants pour mieux nous dominer. Elle commence maintenant à serrer le noeud coulant et nous avons l'air surpris!
Depuis longtemps, que ce soit en matière industrielle ou agricole, on vend à la Chine la corde pour nous pendre (brevets, techniques, savoir-faire, etc.), alors que l'on pouvait très bien anticiper sa stratégie commerciale à venir : nous rendre dépendants pour mieux nous dominer. Elle commence maintenant à serrer le noeud coulant et nous avons l'air surpris!
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