Relation presse : l’explosion…

tatachef Le 17 janvier 2012 à 09:30:15
Nous comprenons vos problèmes... mais je trouve que ce sont toujours les mêmes régions, les mêmes appellations, et les mêmes grands noms, qui ont droit aux actualités ! Le Sud-Ouest est souvent résumé à des nouvelles de Bordeaux et du Languedoc-Rousillon ! Or la dénomination Sud-Ouest est contenue dans le nom d'un Bassin de Production très innovant et de grande qualité, centré sur Toulouse mais allant de Millau à la côte basque... Je ne cite aucun nom, je vous laisse le plaisir de le faire.

Josephine Le 21 juillet 2011 à 09:32:22
Eh oui, il faut sélectionner, ne pas envoyer tout et n'importe quoi aux journalistes ! Je m'étais déjà exprimée sur le sujet. Certains bureaux de presse envoient des communiqués pour dire que leur client a eu une médaille. Ces gens là tuent le métier. Tellement plus simple de ne pas avoir le courage de dire au client que cela n'intéresse pas les journalistes. Quant aux envois de vins, là aussi, il faut cibler. On sait très bien que certains supports ne prennent pas des vins à plus de 10 euros. Attaché(e) de presse, c'est un métier, un vrai. Comme tous les métiers. Il y a ceux qui font leur travail sérieusement et ceux qui envoient la même information à tous les journalistes, quel que soit leur centre d'intérêt, c'est moins fatiguant que de sélectionner. Mais... côté journaliste, il y a aussi beaucoup à dire. Certains nous demandent de ne plus envoyer d'échantillons. "Je vous solliciterai en cas de besoin". Ceux-là ne font pas leur cave avec les envois presse.

VinConnexion Le 13 juillet 2011 à 11:00:29
Un avis côté bureau de relations presse pour apporter une mesure à cet édito qui ne concerne pas tous les acteurs journalistes et RP : Les relations presse sont loin d’être le budget de communication le plus coûteux du monde du vin. Cet édito ne traite que de l’envoi d’échantillons « mal ciblés » (chacun connaît le coût d’envoi d’un échantillon…, il est toutefois regrettable en effet que des journalistes ne prennent pas la peine de faire savoir qu’ils ne souhaitent plus en recevoir) et une communication "trop fournie". Or, - la première communication sur un vin est bien de le faire déguster - quand j’interroge des journalistes sur la quantité d’infos que nous leur envoyons, ils confirment qu’ils apprécient de recevoir toutes nos informations, estimant que c’est à eux de prendre ce qui les intéresse, c’est leur travail ! Et bien évidemment nous n’attendons jamais d’un magazine qu’il accepte toutes nos invitations (je n’ose imaginer les organisations démentielles que cela impliquerait !), on le tient informé car derrière chaque invitation se cache un sujet… Les journalistes font leurs choix par rapport à leur intérêt du moment, ils ne sont ni « gênés » ni forcés, c’est un échange professionnel très normal.