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'après le Wine Business Insider, SupremeCorq aurait notifié à ses clients la suspension de ses opérations. Au siège européen de SupremeCorq en Belgique, un porte-parole réplique : "c'est surtout aux Etats-Unis que ça se passe. En ce qui concerne nos activités européennes, nous continuons à travailler pour nos clients." En attendant d'en savoir plus sur la suite.Fondé en 1994, SupremeCorq a depuis été dépassé par l'actuel leader du marché né en 1999, Nomacorc.
L'auteur de l'article du blog américain, Cyril Penn, précise qu'il a appelé deux vignerons californiens utilisateurs, à sa connaissance, de bouchons SupremeCorq pour en savoir plus sur l'attitude du bouchonnier synthétique mais l'un avait opté entretemps pour la capsule à vis pour ses blancs à rotation rapide et l'autre pour le bouchon de liège par choix "de développement durable". Le développement du bouchage synthétique semble avoir atteint son pic et le marché entrerait dans une phase de consolidation.
Dans le même temps, le leader incontesté du bouchage en liège naturel, Amorim, a clôturé l'année 2010 à un niveau de bénéfice net "jamais atteint auparavant", se réjouit Carlos de Jesus, directeur de la communication du groupe portugais, dont le bénéfice net a quadruplé par rapport à celui de 2009 à 20 535 M€ contre 5 111M€ en 2009.
