D
ans mes relations de Conseil avec les vignerons, je suis vraiment frappé par la qualité de la relation qui s’instaure au fur et à mesure du travail fait ensemble. Par rapport à la problématique initialement perçue, nous affinons la perspective petit à petit, nous reprenons certains aspects mis initialement de côté. Il n’est pas rare que le vigneron réalise que son besoin est différent de ce qu’il avait initialement prévu. Tout cela demande que s’instaure entre nous une relation de confiance. Quand le vigneron sent que je rassemble toute mon expérience et mon savoir-faire pour le servir au mieux, lorsqu’il perçoit que nous sommes en train de construire ensemble concrètement un avenir plus serein et plus clair pour son entreprise, alors la relation passe au niveau supérieur.Pour cela, il faut forcément qu’il soit à l‘aise sur les aspects financiers, que ceux –ci aient été bien définis au départ et que le vigneron-partenaire perçoive que son investissement va rester dans les limites qu’il fixe lui-même et « qu’il en a pour son argent ». Mais plus loin, il doit percevoir les nouvelles perspectives permises par notre collaboration.
C’est sans doute cela, un bon partenariat,
Par Philippe Verdier
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