SURTITRE

iDealwine surfe sur le succès des ventes aux enchères

n 2001, 310 ventes aux enchères ont permis de vendre environ un million de bouteilles de vin. Depuis quelques années, ce type de ventes est en hausse. Cette tendance s'insère parfaitement dans les modes de consommation et d'achat des nouveaux consommateurs : ce qui est rare est cher, ce qui est original est distinctif? Certaines études de commissaires priseurs ont perçu ce phénomène, c'est pourquoi elles se spécialisent dans la vente de vins aux enchères pour attirer plus de clients et relancer les ventes d'objets d'arts? Ainsi le vin se glisse parmi les objets d'art, devient valeur financière et pourquoi pas valeur refuge ! Pas facile de faire des affaires, les salles de ventes étant réparties aux quatre coins de la France ! Internet apparaît ainsi comme une solution efficace pour participer au développement des enchères. Rappelez-vous qu'E-bay, premier site de ventes aux enchères dans le monde, est à la fois l'ancêtre et l'un des symboles de l'e-business. En France, plusieurs sites (Spiritxhange, iDealwine) ont développé une activité commerciale sur le principe des enchères de vin. En un an, iDealwine a diffusé sur son site www.iDealwine.com les catalogues des 310 ventes aux enchères organisées dans toute la France. Plus de 25.000 lots, soit 800.000 bouteilles ont ainsi été rendues accessibles aux internautes. Grâce à iDealwine, les particuliers, du débutant à l'amateur averti et les professionnels ont accès à l'ensemble des ventes aux enchères de vins qui ont lieu chaque année en France ainsi qu'à un ensemble unique de services. Courtier spécialisé dans le vin sur Internet, iDealwine offre une importante base d'informations et de cotations sur le marché du vin : près de 30 000 fiches produit, 9 années de résultats d'adjudications pour chacun des crus, plus de 200 000 cotations ajustées en permanence. Les ventes aux enchères favorisent les notoriétés acquises : les bordeaux et les bourgognes représentent plus de 80% des transactions ! Les nouveaux consommateurs se comporteraient-ils comme des consommateurs d'étiquettes ?