n ce début d’année 2024, tous les vÅ“ux sont bons à prendre et à rendre. Avec des entreprises chahutées par les marchés erratiques et/ou les aléas climatiques, les opérateurs de la filière vin se projettent sur l’avenir avec un passif qui peut être lourd. Écrasant même. Aux sempiternels « bonne année », on répond automatiquement « et surtout la santé ». Effectivement, il n’y a pas plus capital que la bonne santé physique, mais aussi mentale. Alors que les tensions, appréhensions et craintes montent face au gouffre des changements de modes de consommation, il faut transformer le passif en actif et reprendre du poil de la bête : rien de mieux que des projets fous, innovants… Et surtout pas chers, pour placer la nouvelle année sous le signe de la relance commerciale. Vous avez des idées de débrouille ? Partagez les en contactant la rédaction : a.abellan@gfa.fr
En 2024, les caves se rebiffent : le vin n’est pas passé de mode et à bien des choses à dire aux consommateurs ! À commencer par leur affirmer que « vous n’avez encore rien bu ! » Pour séduire de nouveaux clients, il faut élargir l’offre de la filière vin avec de nouveaux concepts, nouveaux produits, nouveaux emballages… La pugnacité des vignerons, caves coopératives et négociants force le respect en cette période difficile, se mobilisant toutes et tous pour atteindre les consommateurs vaille que vaille : « parce que bébé, il n’y a pas de montagne assez haute,
Il n’y a pas de vallée assez profonde,
Il n’y a pas de rivière assez large,
Pour m’empêcher de t’atteindre » comme le chantent Marvin Gaye et Tammi Terrell (Ain't no mountain high enough sur des paroles de Nickolas Ashford & Valerie Simpson 1967).
Le tout, c’est de déconsommer avec modération…
Les rédactions et équipes du site Vitisphere et de la revue La Vigne vous souhaitent une excellente année 2024.